29 mars 2012

On peut le faire

Il n’est plus possible d’ignorer le changement majeur qui s’opère dans les consciences et dans le regard que les humains portent sur eux-mêmes, et sur leur mode de vie destructeur. Aujourd’hui, un nombre croissant de personnes cherchent un moyen de vivre en harmonie avec leurs valeurs et avec la nature. En plus des populaires coopératives d’habitation, saviez-vous qu’il y a un nombre croissant de projets d’écovillage ?

Mais… par où commencer ? Démarrer un projet de vie en commun n’est pas simple et la majorité des tentatives échouent. Les francophones ont longtemps attendu ce premier guide pour Vivre autrement. Avec ce livre, le seul sur le sujet en français, vous ne partez pas les mains vides ; comme le dit Jacques Languirand : « si vous avez vraiment le goût de Vivre autrement, vous avez entre les mains le livre qu’il vous faut [...] sa lecture devrait vous permettre d’envisager une telle entreprise avec de meilleurs outils et plus de confiance. »

Vivre autrement : écovillages, communautés et cohabitats se base sur l’expérience de dizaines de pionniers-fondateurs pour proposer des outils concrets qui vous aideront à concevoir, organiser et poursuivre votre audacieux projet, en évitant les erreurs et les pièges pouvant mettre votre rêve en péril. Cette mine d’information recueillie par une icône du mouvement des écovillages démontre la viabilité de ces derniers.

DIANA LEAFE CHRISTIAN est depuis 1993 la rédactrice en chef du magazine Communities (http://communities.ic.org/), la plus importante ressource pour les communautés intentionnelles (des coopératives urbaines aux communes rurales) en Amérique du Nord. Elle donne des conférences et des ateliers de formation sur la fondation d’écovillages et de communautés intentionnelles. Elle est membre de l’écovillage Earthaven en Caroline du Nord.

2 commentaires:

  1. voir SUR GOOGLE l'article sur le village de MARINALEDA EN ANDALOUSIE. EXPERIENCE TRES INTERESSANTE

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  2. Bien entendu qu'on peut le faire, puisque certains le font déjà.
    Mais le système actuel de consommation (qui ne peut pas durer, du reste) a appris aux populations à dépendre de certains "chefs" au lieu de mettre directement la main à la pâte.

    Pourquoi donc a t'on dénigré le travail manuel aux dépends des études longues et théoriques ? On va revenir au temps passé, il me semble. Nous sommes obligés de le faire pour notre survie.
    Nous sommes pris dans un engrenage dont il nous faut nous libérer absolument.

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