22 décembre 2012

Sandy Hook : La page Facebook dédiée à l'institutrice a été crée 4 jours avant le drame


Dans le drame de Sandy Hook, chaque jour des preuves accablantes désignent une fraude manifeste. On a eu droit à des références cinématographiques dans le dernier Batman, puis on s'est rendu compte que la page Facebook dédiée à la collecte de fonds pour l'une des victimes a été crée avant même l'annonce de sa mort.
Il y a eu le scandale du père qui s'esclaffait devant les caméras avant de faire mine de pleurer, et la joyeuse réception en habits de fêtes en compagnie du président Obama.
Tous ces éléments avaient éveillé la suspicion des observateurs mais désormais la preuve est établie que l'affaire de la fusillade de Newton est sans conteste un false flag programmé à l'avance.

En effet, on vient de se rendre compte que la page Facebook dédiée à l'institutrice victime des tueurs a été crée le 10 Décembre soit 4 jours avant la date de la fusillade !
Évidement, les responsables de cette opération ont pris soin de corriger leur erreur (Facebook complice ? ) et c'est en consultant le cache Google de la page que l'on pourra vérifier qu'elle a bien été crée le 10/12.



Story telling versus Vérité

On peut en conclure que le compte rendu que les médias ont fait de ce drame n'est que du story telling. Ainsi l'institutrice passe pour une héroïne qui s'est sacrifiée en sauvant la vie de quelques éleves, ce qui lui apporte la sympathie du public. Même chose pour le père épleuré mais digne, de la petite Emilie.
De cette manière toute contestation de la version officielle sera vouée à se heurter à un mur d'hostilité.
C'est la même technique utilisée lors du story telling du 11 septembre, par exemple avec l'histoire des passagers du vol 93 qui se sont révoltés contre les pirates de l'air.

Un nouveau 11 septembre

Depuis le 11 septembre, une partie du public a admis le fait que jusqu'aux plus hauts niveaux du gouvernement, un réseau de gens sans scrupules étaient prêts à sacrifier des vies innocentes pour faire avancer leur agenda. Les récentes tueries d'Aurora et de Sandy Hook s'inscrivent dans cette continuité.
Grâce à la complicité des médias, ces sacrifices humains serviront des objectifs politiques.
Le droit de posséder des armes qu'octroie la constitution américaine est d'ores et déja dans le collimateur.
Des groupes de gens comme les survivalistes, les "preppers" voire même les conspirationnistes le seront également dans un proche avenir.
Par le biais de l'instrumentalisation des émotions qu'elles génèrent, les tueries comme celles de Sandy Hook et d'Aurora sont les nouveaux " 11 Septembre " dont a besoin l'élite mondialiste pour abolir le peu de libertés civiles qui reste au peuple.

Vu ici

2 commentaires:

  1. Le "Story telling" est en effet une subtile technique de programmation émotionnelle des "spectateurs" dans une affaire affreuse. Style "attentat terroriste" ou "meurtre en série".

    Cette technique consiste à jouer sur l'émotion, sur le capital sympathie envers des victimes ou des rescapés héroïques, dont la "belle conduite" permet de créer un consensus de l'opinion, tandis que simultanément, sont sortis le maximum de détails sordides sur le, ou les assassins pour en faire une caricature de "super super vilains" style "le Joker" de Batman.

    Gentils cowboys et indiens scalpeurs et assassins...

    Il est bien connu que les "grandes émotions" annihilent l'esprit critique, et le raisonnement. Les manipulateurs au sommet le savent fort bien. Ils submergent les spectateurs donc d'informations (de désinfo) en boucle avec des détails qui noient le poisson, sur à la fois le côté "blanc" les gentils héroïques, souvent des victimes ou des sauveteurs, et de l'autre côté, les ultra "noirs" les horribles assassins psychopathes. Dualité donc. Paysage en "blanc et noir".

    Prenons un exemple récent : le "suicide" (par pendaison) de la brave et dévouée infirmière de Kate Winsor, enceinte, hospitalisée pour de terribles nausées et migraines (la pauvre duchesse) qui a été abusée par les méchants plaisantins de la radio Australienne (les bourreaux, cause du suicide donc).
    En réalité, il est possible a/ que l'infirmière n'existe pas et qu'il s'agisse d'une histoire fabriquée pour détourner l'attention ou b/ Que cette infirmière en "savait trop" et a été éliminée (savait-elle des choses sur la grossesse de Kate ?) ou bien même qu'il s'agisse d'un sacrifice rituel (comme dans le film The Omen), ou encore la scène du bébé géant et des infirmières dans les cérémonies grand spectacle des JO de Londres.

    L'ami Pierrot

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    1. A Paul et l'Ami Pierrot, j'offre (ou je fais suivre pour demain ) le vol des mésanges charbonnières qui passent devant les fenêtres de "mon" HLM.

      Mais il est vrai que, par ailleurs, la saturation semble approcher la zone rouge...

      PS : "Si ça continue, va falloir que ça cesse" chantait(et chante encore) le superbe Hubert Felix Thiéfaine, expert en "monde déglingué".

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