29 octobre 2013

Churchill a refusé l'offre de paix de Hitler pour des "raisons morales" ! Résultat : 20 000 000 de morts...



Finalement c'est confirmé : Adolf Hitler avait bien fait une offre de paix en 1941
Voilà maintenant des semaines que la nouvelle est connue en Israël et en Grande-Bretagne, mais les grands médias américains gardent le silence sur la parution d'un nouveau livre écrit par un historien britannique de premier plan qui affirme qu'Adolf Hitler a cherché à obtenir la paix avec la Grande-Bretagne en 1941 mais que l'offre d'Hitler a été rejetée par le premier ministre Winston Churchill.

C'est le site israélien Ynet ainsi que le Daily Telegraph et le Daily Mail (tous deux de Londres) qui ont rapporté cette révélation qui change l'histoire "officielle" de la Deuxième Guerre mondiale et confirme ce que les historiens révisionnistes indépendants disent depuis des années.

Dans Hess, Hitler and Churchill, le célèbre écrivain Peter Padfield affirme que la légendaire "mission de paix" de Rudolf Hess, fidèle adjoint d'Hitler, en Grande-Bretagne en mai 1941 avait bien eu l'approbation d'Hitler et que Hess apportait de la part d'Hitler l'offre suivante : les forces allemandes se retiraient des pays qu'elles occupaient en Europe occidentale en échange du soutien de la Grande-Bretagne (ou du moins sa non-intervention) à une attaque imminente de l'Allemagne contre la Russie soviétique, dont il divulguait la date (fixée à cinq semaines plus tard).

La proposition d'Hitler - dans la langue officielle de tout traité de paix (et dactylographiée sur papier à lettres officiel d'Hitler) - garantissait à la Grande-Bretagne le maintien de son indépendance, de son empire et de l'ensemble de ses forces militaires. Le traité proposait ce qu'en anglais on traduirait par un état de "well-wishing neutrality" (une neutralité bienveillante) entre l'Allemagne et la Grande-Bretagne, ce qu'Hitler encourageait depuis longtemps.
Même si, comme le note The Telegraph, le voyage de Hess n'a traditionnellement pas été pris au sérieux mais est considéré comme "la mission en solitaire d'un fou", des écrivains indépendants soutiennent depuis des années (en se fondant sur des données ignorées ou supprimées par les grands médias et le monde universitaire) qu'Hitler avait choisi - en accord avec Hess - de nier avoir été au courant de cette mission si cette dernière devait échouer, ce qui fut le cas.

Après avoir évacué son avion en Écosse, Hess comptait rencontrer des dignitaires britanniques intéressés par une paix avec l'Allemagne, mais, au lieu de cela, il fut placé en détention par les agents de Churchill et détenu au secret pendant 46 ans. Les détails de sa mission furent étouffés par le gouvernement Churchill.

Padfield soutient que Hess a été victime d'une opération des services de renseignement britanniques approuvée par Churchill, qui avait pour but d'attirer le pacificateur allemand en Grande-Bretagne. Ce qui sert de modèle à Padfield s'inspire de ce que d'autres appellent les "embrouilles" classiques comme savent si bien en faire depuis longtemps les services de renseignement britanniques.

Selon Padfield, une de ses sources a été un anonyme anglais du milieu universitaire. En même temps que d'autres, Padfield a été appelé pour traduire le traité pour Churchill qui (alors qu'on lui avait apporté une traduction en anglais effectuée par Hess) voulait une traduction produite par ses propres agents.

Le Telegraph écrit: "Il n'est fait mention de ce traité dans aucune des archives officielles rendues publiques depuis, mais M. Padfield pense que c'est parce qu'il y a eu un processus continu de camouflage pour protéger la réputation de personnages puissants", et il note que Padfield a "aussi réuni d'autres preuves à l'appui de l'existence de ce traité et de son contenu - ainsi que la preuve du camouflage qui s'ensuivit".

Padfield prétend que Churchill a fait un "choix moral" en rejetant l'offre de paix d'Hitler, ajoutant que Churchill désirait ardemment faire la guerre à Hitler et amener les Etats-Unis à entrer dans le conflit.

En revanche, les critiques de Churchill ont affirmé que si ce dernier poussait aussi résolument à la guerre contre Hitler - en dépit de l'opposition générale du peuple anglais et même de celle de la famille royale britannique - c'était parce que, quelques années auparavant (où il avait quasiment fait faillite et allait perdre sa maison ancestrale bien-aimée), Churchill avait été sauvé de la misère par un groupe de financiers juifs - connu sous l'appellation "les Focus" - qui a payé les dettes de Churchill en échange de quoi ce dernier exécuterait tout ce qu'ils lui demanderaient.
En tout cas, comme le note Padfield, la révélation au public de la mission de paix de Hess aurait sapé la campagne de Churchill en faveur de la guerre.

Hess a été jugé et reconnu coupable de "crimes de guerre" par le Tribunal de Nuremberg après la guerre en dépit du fait qu'il n'avait pas été en mesure d'avoir commis le moindre crime de guerre puisqu'il a été emprisonné par les Britanniques pendant toute la durée de la guerre.

Condamné à la prison à vie, Hess est mort à la prison de Spandau en Allemagne en 1987; sa mort a été officiellement déclarée un suicide, mais de nouvelles données confirment que, comme beaucoup le pensent depuis longtemps, le vieil homme a en réalité été assassiné par les Britanniques.

Michael Collins Piper
Source

3 commentaires:

  1. Faut pas tout déformer, la proposition d'Hitler visait à continuer la guerre sur un seul front: contre L'ÛRSS. Sans l'appui Anglo-américain, (loi prêt bail) aux Soviétiques et la continuation de la guerre en Afrique, puis en italie les Allemands seraient probablement arrivés à leur fin. Une fois débarrassé de l'URSS et renforcé des matières premières (notamment pétrole) qui leurs faisaient défauts, Hitler auraient pu recommencer la guerre contre les Anglo-saxons avec une probabilité, là encore très grande, de les vaincre.
    La proposition de Hitler n'étaient qu'un pacte germano-soviétique bis a l'avantage exclusifs des allemands sur le long terme. Heureusement que Churchill a refusé.

    Ceci dit cela ne signifie pas que Churchill ait été un good guy. Il avait sa face sombre (et même très sombre).

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  2. bref un pacte europeen quoi!
    hitller était un jésuite mal fammé, comme sont les jésuites. entreux ils ne se font pas de cadeaux. si la guerre a basculé au désavntage de l'allemagne ce ne fut que temporaire finallement. Comme si les allemands récuperer leur mise de départ en 2013. le hasard n'existe pas, suffit de voir le japon, lui fut utlisé pour conquérir la chine mais ils ont échoué au viet nam., du coup les jap sont moins puissant que les allemand.Etonnant quand meme, ce sont les perdants qui sont les vainqueurs!
    au c'est qui les perdants réellement sur longue période?

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  3. Ras le bol de la prospective, des interprétations et des analyses basées sur des supputations de salons.

    Concrètement, cette information capitale modifie le sens même de l'histoire, le sens de cette guerre et du personnage d'Hitler.
    Le constat est simple et tragique ! ...des millions de morts et une histoire que personne n'osera remettre en question.
    Malheur aux vaincus !

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