11 juillet 2014

9/11 - Tout le monde était au courant !

Le lundi 6 Août 2001, à 17h50, l’ambassadeur allemand Ischinger a personnellement informé le président des États-Unis que le Bundesamt für Verfassungsschutz (services secrets intérieurs allemands) ainsi que le BND (Bundesnachrichtendienst, services secrets extérieurs) possédaient des renseignements indiquant qu’une attaque organisée par un groupe arabe radical, partiellement basé en Allemagne, allait se produire les 10 ou 11 Septembre 2001. Le président américain résidait à ce moment dans sa ferme du Texas. Notre ambassadeur a agi sur injonction directe aux instructions du Ministre des Affaires étrangères Fischer.

Cette information a été obtenue à partir de la surveillance des groupes extrémistes arabes opérant dans la République Fédérale, ainsi que des communications interceptées entre l'ambassade d'Israël et le ministère des Affaires étrangères israélien à Tel Aviv, concernant ces questions.

L'information a été « accueillie avec reconnaissance » par le président américain, qui a déclaré à l'époque qu'il était également au courant de ces mêmes préparatifs à venir.

Après les attaques, le bureau du président des États-Unis, à travers le Département d'État des États-Unis, a fait une demande urgente au gouvernement de la République Fédérale d'Allemagne, précisant qu’aucune référence ne devait être faite aux avertissements officiels donnés par l'ambassadeur allemand Ischinger.

Afin de clarifier le fond de cette affaire, le déroulement des événements qui ont conduit à l'agression a été déduit en se basant sur des rapports des unités étrangères de la BND. Il est évident que les autorités américaines étaient au courant des attaques en préparation. Pourquoi n'ont-ils pas réagi, c’est qui va être expliqué.

Contexte: Présentation générale

En raison de l'implication de la famille Bush dans le pétrole (Zapata Oil Company), de nombreuses personnes importantes des plus riches, ainsi que des sociétés ayant des intérêts pétroliers, ont soutenus financièrement la carrière politique de Bush. Aujourd'hui, l'administration Bush est donc fortement influencée par les grands groupes d'affaires américains.

Le candidat à la vice-présidence américaine, Richard "Dick" Cheney, avait été le directeur en chef de la Société Halliburton. Cette société, basée à Dallas, au Texas, où Bush était gouverneur, est la plus grande société de services pétroliers dans le monde.

Entre 1991 et 1997, ces importantes compagnies pétrolières américaines comme Texaco, Unocal, Shell, BP Amoco, Chevron et Exxon-Mobil se sont impliquées dans l'ancien État soviétique du Kazakhstan, qui détient d'énormes réserves de pétrole. Le gouvernement du Kazakhstan a finalement été payé plus de 3 milliards de $ par ces entreprises pour leur permettre d’obtenir des droits sur ce pétrole. Dans le même temps, ces entreprises ont en outre convenu de verser 35 milliards de dollars en investissements d’installations et d’équipements pour les projets du Kazakhstan. Un rapport de projet confidentiel desdites entreprises américaines a annoncé que les réserves de gaz et de pétrole du Kazakhstan s'élevaient à 4 billions de dollars.

Les États-Unis ne sont pas auto-suffisants en pétrole et 50% de leur approvisionnement est importé de diverses sources étrangères. Environ 80% du pétrole importé aux États-Unis provient des pays de l'OPEP, le cartel pétrolier arabe. En raison de l'appui inconditionnel des dirigeants politiques américains de l'État d'Israël, ces gouvernements arabes ont une relation très tendue avec les États-Unis.

Un autre petit pourcentage du pétrole importé aux États-Unis vient de Venezuela. Tout récemment, le gouvernement américain a tenté de renverser le gouvernement de Chavez avec l'aide de la CIA et le remplacer par un gouvernement «plus sensible aux besoins pétroliers américains."

Un document de travail préparé par le bureau du vice-président Cheney affirme que les réserves de pétrole du Kazakhstan seraient "plus que suffisantes pour fournir les États-Unis, pour au moins une décennie" et favoriserait "la réduction de la dépendance américaine à l'OPEP."

Unocal Oil Company a signé un accord avec les Talibans au pouvoir ainsi qu’avec leurs adversaires, l'Alliance du Nord, afin de permettre la construction d’un oléoduc à travers l'Afghanistan, traversant le Pakistan et finissant à l'océan Indien. Cela permettrait d’éviter l’utilisation des pipelines coûteux de la Russie. Unocal a ensuite ouvert des bureaux officiels en Ouzbékistan, au Pakistan, au Turkménistan et au Kazakhstan, pour faciliter la construction de ce pipeline.

En Décembre 1997, les représentants officiels talibans étaient aux États-Unis pour assister à une conférence au siège de l'Unocal, au Texas, pour discuter de la conduite à tenir en Afghanistan. Ces pourparlers ont échoué parce que les talibans avaient des exigences financières excessives.

En 1998, les conflits internes en Afghanistan et l'instabilité inhérente au Pakistan ont atteint de tels niveaux qu’ils rendaient le projet de gazoduc impossible à exécuter. Dans la même année, la firme Enron, de Houston au Texas, sur la base suggéré, au lieu de construire un oléoduc à 3 000 000 000 $ en parallèle aux pipelines russes, suggérait plutôt de prendre au plus court, mais de façon plus problématique un itinéraire vers le sud.

Dans un mémorandum secret écrit par Cheney, il est précisé que la société Unocal était prête à financer la route du sud. Selon cette étude, ce projet prendrait cinq ans pour un investissement de 2 milliards $. Cependant, ce qui avait fait l'objet d'un certain nombre de rapports secrets américains, la seule chose qui freinait la réalisation de l'oléoduc était l'opposition de base du gouvernement afghan et de ses soutiens politiques.

Le 8 mai 2001, le Département d'État des États-Unis, au nom du secrétaire d'État Colin Powell, a versé 43 millions de dollars américains aux Talibans afin de faciliter leur coopération dans ce projet de pipeline.

Le 10 Juin 2001, le BND a averti le bureau de la CIA, à l'ambassade des États-Unis en République fédérale d'Allemagne, que certains des terroristes arabes avaient l'intention d’utiliser l'aviation commerciale américaine comme arme de destruction contre des symboles américains importants. Cela a été considéré comme un avertissement général. L'avertissement de la République fédérale du 6 Août, cependant, n’était pas spécifique quant à la date, l'heure et les lieux des attaques.

Le 11 Juillet 2001, à Berlin, les responsables américains Thomas Simmons, un ancien ambassadeur américain au Pakistan, Lee Coldren, du Département d'État, experts sur les questions asiatiques, et Karl Inderfurth, secrétaire d'État adjoint pour les matières premières en Asie ont rencontré des officiers du renseignement russe et pakistanais. Lors de cette réunion, qui était sous haute surveillance, il a été déclaré par les Américains que les États-Unis avaient prévu de lancer des frappes militaires contre l'Afghanistan en Octobre de cette année. Le but de ces frappes était de renverser le gouvernement afghan et les Talibans afin de le remplacer par un gouvernement «plus sensible aux intérêts pétroliers américains."

À la mi-Août 2001, le Président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, a ordonné que les autorités américaines soient averties d'attaques imminentes sur des bâtiments du gouvernement, à l'intérieur des États-Unis. Cet avertissement a été transmis à l'ambassadeur américain à Moscou et par l'intermédiaire du bureau des ambassadeurs de Russie directement au président des États-Unis.

Le 20 Août, le gouvernement Français, par le biais de l'ambassade américaine à Paris et de leur ambassade à Washington, a émis un avertissement plus spécifique. Cet avertissement précisait la date exacte, l'heure et les lieux des attaques.

Le 11 Septembre, le président Bush et les principaux collaborateurs s’envolaient vers la Floride, le Président parlait avec les enfants d’un jardin d'enfants. A ce moment, le vice-président Cheney quittait Washington et se rendait au complexe de sécurité présidentiel dans les montagnes du Maryland.

Il a été noté à Washington que Cheney est resté caché dans le Maryland pendant un certain temps et il n’est apparu en public qu’entouré d’une très haute sécurité.

Le rôle du Mossad israélien dans les attaques terroristes

Remarque: Les deux sections suivantes sont considérées comme extrêmement sensibles en raison de la relation particulière entre la République fédérale d'Allemagne et de ses citoyens juifs, ainsi que de l'État d'Israël. Ce matériel est compilé à partir de sources allemandes et américaines.

Le gouvernement d'Israël a fait une demande très secrète au président George HW Bush. Cette demande était de permettre aux agents du Mossad, Israël Foreign Intelligence, d’entrer aux États-Unis et de mener des opérations de surveillance contre divers groupes arabes résidant dans ce pays.

L'objectif déclaré de cette surveillance était de permettre une alerte précoce israélienne de complots terroristes contre leur pays. L'autorisation de cette surveillance a été accordée sous condition que le Mossad aurait une liaison avec le FBI et signalerait toute alerte à cet organisme.

Cependant, ces conditions n'ont pas été respectées. Le Mossad non seulement n'a pas informé le FBI de ses découvertes, mais il est connu pour s’être engagé dans des tractations avec plusieurs groupes de criminels israéliens d'origines russes. Ces groupes ont été engagés dans de vastes activités criminelles à l'intérieur des États-Unis, y compris le trafic de la drogue ecstasy. Des agents du Mossad ont pu empêcher les enquêtes criminelles américaines grâce à leur surveillance téléphonique sur le territoire américain de ces groupes.

Il est évident suite à la surveillance menée sur des agents du Mossad en République fédérale, ainsi que des interceptions de communications diplomatiques israéliennes entre la République fédérale et Tel-Aviv, que le Mossad a réussi à pénétrer divers groupes extrémistes arabes, à la fois en République fédérale et aux États-Unis.

Ces enquêtes divulguaient, fin de mai 2001, qu’une attaque devait être organisée contre certaines cibles spécifiques dans les villes américaines de Washington et de New York. Il est évident que le Mossad était non seulement tout à fait conscient à l'avance de ces attaques, mais qu’en fait, c’était leurs propres agents à l'intérieur de ces groupes arabes qui les assistaient dans la planification et l'exécution de ces attaques.

Que le gouvernement israélien est pleinement conscient de ces attaques est absolument certain et prouvé. Le trafic diplomatique entre l'ambassade d'Israël en République fédérale et l'Office israélien des Affaires étrangères a montré très clairement que le ministre-président Sharon était parfaitement au courant de cette attaque à venir et avait de toute urgence souhaité que rien ne soit fait pour les empêcher.

Bien que les responsables israéliens aient été chargés de mettre en garde la communauté américaine du renseignement que certains types d'attaques pourraient être possibles, à aucun moment ils n’ont communiqué les dates et les objectifs précis (connues à ce moment-là des responsables israéliens) aux Américains.

La justification de cette attitude a été exprimée dans une conversation du 1er Août 2001, entre l'attaché militaire israélien en République fédérale et un membre de l'état-major israélien. Il a été déclaré qu'Israël croyait qu'une attaque sur le territoire continental des États-Unis, afin d'enflammer l'opinion publique américaine, permettrait à Israël de «nettoyer» leur état des "terroristes arabes et de ceux qui soutiennent ces terroristes". Ce «nettoyage» consistait en l'expulsion de tous les Arabes, et même des groupes chrétiens, de la Palestine.

Les responsables du renseignement américain ont exprimé à plusieurs reprises leur préoccupation que le gouvernement israélien, à travers une société appelée Amdocs, était en mesure d'effectuer la surveillance de toutes les communications téléphoniques des États-Unis. Il a été déclaré catégoriquement que cette entreprise basée en Israël avait des contrats avec 25 des plus grandes compagnies de téléphone américaines. Ces contrats ont été accordés en dépit des objections et des préoccupations de la communauté américaine du renseignement.

La raison officielle donnée pour cet arrangement incroyable, qui a permis aux agences israéliennes d’espionner tous les appels téléphoniques hautement confidentiels, était que les États-Unis ont une «relation spéciale» avec l'État d'Israël et qu’ils en avaient fait la demande.

L'influence politique israélienne aux États-Unis

Il convient de noter ici que le lobby israélien professionnel en Amérique est énorme et est considéré même par nos collègues américains pour être un facteur de domination de la politique américaine.

Le Comité American Israel Public Affairs est le plus grand lobby étranger à Washington et le quatrième plus puissant lobby dans le pays. D'autres groupes israéliens pénètrent également l'Anti-Defamation League, l'Institut Juif pour les Affaires de sécurité nationale et le Comité pour les rapports entre le Moyen-Orient et l’Amérique.

Ces groupes, en collaboration avec des géants des médias, dominés par les institutions juives, comme le New York Times, le Washington Post, Newsweek Magazine, le Los Angeles Times, Time-Warner-AOL et leur réseau de nouvelles CNN, contrôlent essentiellement la diffusion de l’information aux États-Unis. Il est donc presque impossible pour des nouvelles qui serait considérée en opposition avec les intérêts israéliens de paraître aux yeux du public américain, bien que ces informations sont facilement disponibles dans la plupart des médias européens.

Le rôle des fondamentalistes chrétiens dans la politique américaine

Le soi-disant "droite chrétienne" se compose de fondamentalistes protestants, où les soi-disant pentecôtistes jouent un rôle dominant. Il s'agit de fanatiques et agressifs missionnaires qui croient dans le retour d'un Christ vivant sur la terre et l'élévation ultérieure de ses membres pour le paradis céleste.

Pour que cette apparition du Christ se produise, plusieurs facteurs doivent être mis en place selon leurs points de vue. En premier lieu, un certain nombre de Juifs doit se convertir au christianisme, et, en second lieu, il doit y avoir une reconstruction du temple juif de Jérusalem. Comme le site de ce temple est maintenant occupé par une mosquée islamique majeure, il sera nécessaire de détruire ce bâtiment.

Bush a essayé d'autres églises protestantes, avant de rejoindre les pentecôtistes. Outre le président Bush et son procureur général John Ashcroft, d'autres membres de son administration sont membres de cette église, qui est la deuxième plus grande confession chrétienne après l'Église catholique. Comme une grande partie de l'opinion publique américaine est fermement opposé à ces fanatiques religieux, ces faits ont été maintenus sous silence.

Bush et son entourage sont de très fervents partisans de l'État d'Israël en raison de leur croyance, et que la fondation de cette nation est considérée comme une autre exigence pour le retour du Christ. Pour cette raison, Bush soutient inconditionnellement tout programme mis de l'avant par le gouvernement israélien et est un disciple dévoué et partisan de Sharon, faisant partie de l’aile droite extrémiste israélienne.

Le procureur général Ashcroft a déclaré dans un sermon public (il est un prédicateur laïque de l'église pentecôtiste) que les musulmans sont des «agents de l’Antéchrist" et doivent être détruits dans la «bataille d'Armageddon". Selon les croyances des chrétiens fondamentalistes, cette bataille sera menée en Israël et conduira à la fin du monde et au retour du Christ.

Il est généralement connu à Washington que Bush est entièrement guidé par ses convictions religieuses et qu'il a tenté à plusieurs reprises de forcer les vues du public américain par le biais de divers programmes déguisés, telles que le contrôle religieux des organismes de bienfaisance, soutien inconditionnel d'Israël, et ainsi de suite.

Résumé et perspectives

Les attaques terroristes sur des cibles américaines étaient parfaitement connues de nombreuses entités, bien à l'avance. Le président américain a été pleinement informé de la nature exacte et de l'heure de ces attaques.

Le gouvernement des États-Unis en général et le Président des États-Unis en particulier sont asservis aux désirs et aux plans du gouvernement israélien. Comme ces plans comprennent l'élimination de la population arabe d'Israël et des territoires voisins, il est évident que la population des États-Unis est poussé dans une situation qui pourrait conduire à d’autres attaques et encore plus terribles, sur leur territoire.

Compte tenu de cette possibilité, les autorités américaines sont déterminées à censurer toute discussion sur les attentats du 11 septembre et la version officielle telle qu'elle apparaît régulièrement dans les médias américains.

Il ressort également de sources confidentielles que les plans de Bush pour attaquer l'Irak étaient principalement basés sur un désir de la part d'Israël de renverser Saddam Hussein. Tel Aviv considérait Hussein comme une menace réelle et avait déjà attaqué ce pays auparavant.

Il était également prouvé que si Hussein était renversé par les forces militaires américaines, les ressources pétrolières de l'Irak seraient placées sous le contrôle d'un consortium d’intérêts pétroliers américains qui soutiennent l'administration Bush.

Pullach, 5 Avril 2002
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