19 septembre 2014

Référendum en Ecosse : Le «non» en tête d'après 60% des votes



19.09 Le «non» était en passe vendredi de remporter le référendum d'indépendance en Ecosse après le dépouillement de 26 des 32 circonscriptions. Il affichait une avance de huit points, à 54%, sur le camp du oui (46%), d'après la BBC. 
«A 5h15 (06h15 heure suisse), la campagne du 'non' avait plus de 1'397'000 votes, tandis que le 'oui' était juste au-dessus de 1'176'000», a indiqué la BBC. Un total de 1'852'828 votes est nécessaire pour remporter le référendum.
19.09 Le «non» était en passe vendredi de remporter le référendum d'indépendance en Ecosse après le dépouillement de 26 des 32 circonscriptions. Il affichait une avance de huit points, à 54%, sur le camp du oui (46%), d'après la BBC.
 «A 5h15 (06h15 heure suisse), la campagne du 'non' avait plus de 1'397'000 votes, tandis que le 'oui' était juste au-dessus de 1'176'000», a indiqué la BBC. Un total de 1'852'828 votes est nécessaire pour remporter le référendum. 
19.09 Les premiers résultats définitifs du référendum sur l'indépendance écossaise, portant sur 10 des 32 circonscriptions, soit 14,8% des bulletins dépouillés, donnent le «non» en tête à 52% devant le «oui» à 48%. 
18.09 Le joueur de tennis Andy Murray a suggéré jeudi sur Twitter qu'il soutenait le oui à l'indépendance de l'Ecosse, sa terre natale, le jour même où ses compatriotes se rendaient aux urnes pour participer au référendum d'autodétermination. 
18.09 Les bureaux de vote ont ouvert jeudi matin à 7h (6h GMT) pour le référendum sur l'indépendance de l'Ecosse, ce qui pourrait conduire à l'éclatement du Royaume-Uni et à la formation d'un nouveau pays en Europe. 
17.09 Si l'Ecosse choisit l'indépendance jeudi, le visage du Royaume-Uni en sera bouleversé. Mais peut-être aussi celui de l'Union Jack, qui constitue l'une des bannières les plus célèbres du monde. 
16.09 Le «non» pourrait l'emporter au référendum de jeudi sur l'indépendance de l'Ecosse, selon deux sondages rendus publics mardi, à 48 heures de cette consultation historique. 
16.09 Dans le référendum sur l'indépendance écossaise, le oui l'emporte dans le coeur des parieurs mais c'est le non qui a la cote, selon les bookmakers qui escomptent une mise record pour des gains médiocres. 
15.09 David Cameron devait se livrer lundi dans le port pétrolier écossais d'Aberdeen à un ultime plaidoyer passionné. La semaine dernière, lors d'une visite à Edimbourg il avait confié des sanglots dans la voix qu'une indépendance écossaise lui «briserait le coeur» en détruisant «la famille des nations» britannique.
 12.09 Cinquante-deux pour cent des électeurs écossais se prononceront le 18 septembre contre l'indépendance de l'Ecosse, affirme un sondage YouGov pour le «Times» et le «Sun» rendu public jeudi soir. 
11.09 Le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, a déclaré à Berlin qu'il préfèrerait que la Grande-Bretagne reste unie, concernant le prochain référendum d'indépendance de l'Ecosse. 
10.09 Le Premier ministre britannique David Cameron a de nouveau imploré les Écossais de renoncer à leurs velléités d'indépendance et de ne pas briser «la famille» que constitue le Royaume-Uni. 
07.09 Les partisans de l'indépendance de l'Ecosse sont pour la première fois légèrement en tête dans un sondage du «Sunday Times», à onze jours du référendum. Le camp du «oui» obtient 51% d'opinions favorables, contre 49% pour le camp des opposants. Les unionistes de «Better Together», partisans d'un maintien de l'Ecosse au sein du Royaume-Uni, ont été largement en tête des sondages pendant des mois. L'écart avec les indépendantistes s'est considérablement réduit dans les récentes enquêtes de ces derniers jours. Que les Ecossais choisissent l'indépendance ou pas, le référendum organisé le 18 septembre a ouvert une brèche dans les fondations du Royaume-Uni dont l'avenir sous sa forme actuelle pourrait être remis en cause. Les trois principaux partis politiques du pays ont promis de déléguer davantage de pouvoirs budgétaires au Parlement écossais si l'indépendance était rejetée.

«Bien joué Glasgow..»

Le patron du camp du oui, Alex Salmond, qui a quitté dans la nuit Aberdeen pour se rendre en jet privé à Edimbourg, a quant à lui simplement twitté: «Bien joué Glasgow (..) et aux Ecossais pour leur soutien incroyable». Le Premier ministre britannique a également communiqué sur sa page officielle twitter en écrivant : «J'ai parlé à Alistair Darling (le chef de la campagne du non: NDLR) et je l'ai félicité pour une campagne bien menée».


Source: Keystone

La N°2 du camp du oui admet la défaite probable des partisans de l'indépendance

«Il semble que nous n'allons pas obtenir le oui que nous espérions», a déclaré vendredi matin sur la BBC la vice-Premier ministre écossaise et numéro 2 du parti national écossais, Nicola Sturgeon. Il y a «une réelle déception face au fait que nous avons échoué de justesse à obtenir un vote oui» victorieux au référendum, a-t-elle ajouté.
 
Source: Reuters

Le non en passe de l'emporter

Le non était en passe vendredi de remporter le référendum d'indépendance en Ecosse après le dépouillement de 26 des 32 circonscriptions, affichant une avance de huit points, à 54%, sur le camp du oui (46%), a annoncé la BBC. «A 5H15 (04H15 GMT), la campagne du non avait plus de 1.397.000 votes, tandis que le oui était juste au-dessus de 1.176.000», a indiqué la BBC. Un total de 1.852.828 votes est nécessaire pour remporter le référendum. «L'Ecosse va voter pour rester au sein du Royaume-Uni en rejetant l'indépendance», affirme la BBC sur son site internet. Ces résultats sont tombés avec retard, à 05H00 (04H00 GMT), du fait de l'impressionnant taux de participation, qui s'établit à 84%. Parmi les rares exceptions en-dessous des 80% figure la ville de Glasgow, où la participation s'est établie à 75%.


Source: Keystone

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