13 septembre 2014

Trahison commise par les dirigeants corrompus yankees et occidentaux

Désintégration de l'antenne du WTC
Cette traduction fait suite à l’article que nous avons traduit et publié hier: "Le jour où le monde s’écroula… Le 11 Septembre a été une attaque nucléaire".

Dans l’article ci-dessous, Gordon Duff nous livre un rapport des services de renseignements russes, qui à notre avis, lâche pas à pas le morceau devant la trahison irrécupérable commise par les dirigeants corrompus yankees et occidentaux. En 2005, lors de conférences, l’ancien chef d’état-majour russe en fonction au moment des attentats, le général Ivashov, avait déjà laissé entendre que la Russie "savait". Devant les agressions répétées dont elle fait l’objet, la Russie a sans doute décidé que le moment était venu de larguer la clique criminelle occidentale en rase campagne devant leurs peuples… Ces deux dernières traductions que nous venons de faire comptent parmi les plus importantes de notre historique.

On ingurgite toujours, le processus de digestion n’est pas encore enclenché…

Résistance 71

Trop secret pour être publié: Le piratage nucléaire de Bush exposé

La Russie ouvre ses dossiers sur le 11 Septembre nucléaire et la prolifération israélienne

Gordon Duff
Mai 2014

url de l’article original:
http://www.veteranstoday.com/2014/05/20/too-classified-to-publish-bush-nuclear-piracy-exposed/

Traduit de l’anglais par Résistance 71

Le rapport reproduit ci-dessous provient d’une fuite réalisée par des sources du renseignement russes. Comme l’origine est d’une agence de renseignement sous la forme d’une “fuite”, il y a toujours des questions qui se posent (intox ou pas ?). Jusqu’ici, nous avons trouvé non seulement la confirmation de la très vaste majorité du matériel d’information fourni mais aussi que plusieurs solutions à de sérieux problèmes impliquant les attentats du 11 Septembre y sont inclues.

J’ai très peu écrit ici. Ceci est arrivé avec une grosse documentation soutenant les dires et qui pourra être publié sur SCRIBD dans le futur pour accès public. Un des éléments clé est que les Etats-Unis ont fourni à Israël des surplus d’armes nucléaires.

(Note de l’éditeur: On nous a conseillé de dire qu’une certaine documentation ne pourra jamais être téléchargée en ligne ou distribuée pour des raisons qui seront évidentes)

Nous avons obtenu une très solide confirmation de tout ceci. Pendant les années 1980, Israël a montré son inventaire de mini-nuke tactiques de modèle Davy Crockett (NdT: de fabrication américaine) à un de nos éditeurs, qui était à cette époque haut fonctionnaire du renseignement à l’OTAN. Ces mini armes nucléaires des premiers temps furent retirées de l’inventaire américain en 1978 et “disparurent”.

Ce rapport hautement classifié secret défense est publié sans changement aucun à l’exception d’une mauvaise traduction provenant d’un logiciel (NdT: Rappelons que le rapport original est en russe). Mon opinion personnelle est que ceci N’EST PAS un fuitage de désinformation mais que cela représente plutôt une très sérieuse avancée (concernant le 11 Septembre). Je pense que ceci constitue un des rares moments où on peut observer ce qu’il se passe derrière le rideau. Je publie ceci à toutes fins utiles pour ceux qui sont qualifiés pour comprendre combien très peu de tout ceci est actuellement connu sous forme d’information. Les choses nouvelles qui apparaissent ici sont stupéfiantes. Pour ceux qui trouvent que tout cela leur passe au dessus de la tête, je ne peux pas faire grand chose si ce n’est que de vous dire que cela constitue le monde dans lequel “vos anciens” vivent vraiment et que vous avez finalement une chance unique de pouvoir regarder ce qu’il y a dans le tiroir du haut de la commode de papa et maman.

Trop secret pour être publié

D’après un agent de renseignement à la retraite du FXX se spécialisant dans le contre-espionnage israélien: le type d’engins nucléaires utilisés durant le 11 septembre ont été une version modifiée des obus d’artillerie nucléaires W-54, qui furent fournis en secret aux Israéliens entre 1988 et 1998 en provenance de stock de surplus américains exportés durant la période Bush/Clinton.

Une analyse chimique faite par le laboratoire Sandia du ministère de l’énergie américain (DOE ou Department of Energy) a été capable d’identifier l’empreinte chimique/radioactive des têtes nucléaires en se basant sur des échantillons récoltés après les retombées de Ground Zero du 11 Septembre. (Note de l’éditeur: L’utilisation d’une arme nucléaire à Ground Zero est confirmée par plusieurs sources)


Toutes les têtes nucléaires au plutonium ont une empreinte chimique qui peut identifier le type de fabrication de l’arme et où le PU a été fabriqué ainsi que son âge. Ceci a constitué le chantage sur Bush 1 et Bush 2 le 11 Septembre avec le transfert illégal de surplus d’armes nucléaires américaines aux Israéliens et pourquoi la couverture continuelle fut appliquée ainsi que pour la fraude sur la marché boursier qui se produisait à Wall Street et le vol d’or, d’après le fichier ENW57.pdf page 66.

(Note de l’éditeur: Document reçu et confirmé)

Il n’y a eu besoin que d’une charge de 2 kilotonnes pour faire s’effondrer les bâtiments. Un engin de 2 Kt produira une boule de feu d’environ 50 à 70m de diamètre à plus de 4000oC. Suffisamment grande pour faire fondre les poutres d’acier du cœur de la structure des bâtiments et les faire s’effondrer sur place. Le flash lumineux serait de moins de 1 seconde et serait essentiellement dans l’échelle ultra-violette (UV). La surpression serait de 60 PSI (4 bars) maximum et serait dirigée vers le haut avec l’explosion. Voir l’effet de sous-sol.

Les retombées radoactives demeureraient minimum et se situeraient seulement aux alentours de Ground Zero seulement. Le niveau de radiation baisserait à des nivreaus acceptables 72 heures après l’explosion. La vaste majorité de la radioactivité a été prise dans les poussières de ciment et de béton, ce qui a causé toutes les morts récentes par cancer que nous avons vu et voyons encore parmi les membres des équipes de premiers secours de la ville de New York, qui sont intervenus sur place ce jour-là.


(Note de l’éditeur: Consistant avec les données observées)

L’acier fondu et l’oxyde de fer ou “nano-thermite” sont des déchets de l’extrême flux induit de rayons gammas / Neutrons dans le cœur d’acier des bâtiments. Les radiations dissolvent l’acier en oxyde de fer consummant le carbone et le silicone dans l’acier. Ceci explique la disparition des énomes colonnes d’acier et donne un indice très important sur la “vaporisation” de l’antenne de 20 tonnes qui se trouvait au sommet de la tour sud. La projection ascentionnelle des radiations l’a littéralement vaporisé. Des preuves de cela se trouvent sur les vidéos.

(Note de l’éditeur: Le problème de la tour est vital.)

La taille totale de XXOO du fichier de données en provenance de Sandia Labs du DOE sur les évènements du 11 Septembre est de plus de 72 MB, Snowden n’avait pas l’autorisation Q, il n’a donc pas pu y avoir accès.

Carnaberry avait une bonne pile de documents sur le sujet (tout sous le coup du transfert). L’histoire complète de la non-prolifération de matériel nucléaire volé venant de Russie était une couverture israélienne pour cacher la source originale du matériel d’armement en provenance des stocks américains.

(Note de l’éditeur: Totalement confirmé)

La distribution illégale de matériel d’armement nucléaire américain aux alliés étrangers ne fut pas limitée à Israël. Virtuellememnt tous les alliés de l’OTAN croquaient de cette escroquerie également. Dick Cheney est le coupable sur cette question. Bush 2/Cheney ont négocié des noyaux nucléaires avec des pays étrangers en échange d’IOUs (NdT: “IOU” en anglais se prononce “I owe you” c’est à dire “je vous dois”, faisant référence à un système d’échange impliquant des renvois d’ascenceur sur des questions essentielles de la politique américaine) afin de pouvoir faire ce qu’ils voulaient. Tom Countryman, un agent israélien bien connu, est mainenant bizarrement en charge du NNP (National Non Proliferation) au ministère des affaires étrangères sous Obama (?). Il y fut mis par Rahm Emanuel.

Il apparaît que l’arme de choix des Israéliens fut le W-54 et s’ensuivit des séries de noyaux nucéaires pris du site de stockage poubelle d’Amarillo au Texas. C’est sur quoi Carnagerry travaillait pour Bush senior à Houston.

Un total de plus de 350 noyaux nucléaires furent transférés aux Israéliens sur une période couvrant 10 à 20 ans. Le type de fabrication de noyau pour W-54 était le plus désirable à cause du mode de fabrication donnant 2 points d’implosion. Ceci est le plus facile à reconstruire et à modifier en comparaison des autres fabrications circulaires de noyau atomique.



La fabrication en forme de pilule de l’arme de type W-54 fait que le noyau contient 1,5 fois plus de plutonium qu’un noyau standard. Ceci permettrait que suffisamment de plutonium enrichi au niveau requis pour l’armement soit récupéré, même après 32 ans de stockage. L’Americium qui se produit au fil du temps dans le noyau, fait que le noyau devient inutilisable en tant qu’arme nucléaire et donne une date de péremption au matériel, basée sur la vitesse de production du plutonium dans le réacteur de Stanford.

De manière courante, cela prend environ 150 jours maximum. Le temps d’iradiation dans le réacteur pendant la production détermine la durée de vie du noyau en tant qe matériel fissile d’armement nucléaire.

Toutes les mini armes nucléaires utilisées par les israéliens sont reconstruites à partir d’engins W-54.

Ces engins furent utilisés dans l’attentat à la bombe de Bali, dans l’attentat de Londres et sur les réacteurs nucléaires japonais.

(Note de l’éditeur: L’utiisation d’une arme nucléaire à Bali est confirmée)

Ces engins furent aussi utilisés à Damas, en Irak et en Afghanistan par les Etats-Unis (Note de l’éditeur: Multiples confirmations avec échantillons de terrain.)

Ces engins sont stockés dans la plupart des ambassades israéliennes afin qu’ils soient plus faciles à déployer et à mettre en œuvre. Les engins qui furent utilisés durant les attentats du 11 Septembre 2001 furent gardés au consulat israélien de New York jusqu’à ce qu’ils furent mis en place. Après le 11 Septembre, le FBI teste maintenant les valises diplomatiques avec un compteur Geiger à l’entrée et au départ des Etats-Unis. Les armes (nucléaires) sud-africaines étaient aussi des surplus d’obus d’artillerie nucléaires de type W-54, acquis d’Israël, leur assemblage final et leur test étant faits en Afrique du Sud avec l’assistance d’Israël.

(Note de l’éditeur: Ceci explique les problèmes de production de Pelendaba.)

Ceci fut fait parce qu’Israêl avait besoin d’un endroit d’assemblage et de test afin de s’assurer que la reconstruction des armes se passerait de la bonne manière et qu’elles fonctionneraient efficacement

(Note de l’éditeur: test effectué le 22 Septembre 1979, confirmé de sources multiples)

Les armes nucléaires nord-coréennes sont aussi des obus d’artillerie nucléaires de 155mm, fournis par Israël. Le véritable programme nucléaire nord-coréen est basé sur l’utilisation d’artillerie nucléaire et non pas de missiles. Le plan est d’utiliser un énorme barrage d’artillerie sur la Corée du Sud si une guerre venait a éclater, incluant l’utilisation d’obus d’artillerie nucléaires pour contrer les chars américains, les roquettes et leur artillerie.

Les Saoudiens ont aussi quelques W-54 acquis des Etats-Unis sous Bush 2 (Note de l’éditeur: Confirmé). Les Israéliens ont aussi fourni ces engins à L’Inde, au Brésil, la Chine, Taiwan, le Japon et la Corée du Sud (Note de l’éditeur: Tout est confirmé sauf pour la Corée du Sud. Le Canada était pensé être la source des armes nucléaires brésiliennes). La centrale (israélienne) de Dimona abrite un réacteur thermique ouvert de 75 MGW comme celui utilisé en France, pour leur programme de production d’armes au plutonium, leur version de Stanford.

(Note de l’éditeur: Probablement “Hanford”).

Dûe à sa sur-utilisation comme réacteur générateur rapide de plutonium par les Israéliens, Dimona a été victime d’une “explosion de vapeur”, un flash dû à l’aspect critique des neutrons à la fin des années 1980 sous Bush 1. Ceci ferma les opérations d’enrichissement pendant plusieurs années jusqu’à ce que des réparations puissent être faites.

Maintenant la centrale ne peut opérer qu’à bas régime à cause des dégâts causés par l’absorption des neutrons dans le vaisseau d’isolation de la centrale. Le réacteur est maitenant essentiellement utilisé pour la production d’isotopes. Ceci a forcé les Israéliens à se tourner vers des stocks de matériels nucléaires volés des Etats-Unis pour la continuation de leur programme nucléaire.

Les Israéliens, sachant que le matériel nucléaire qu’ils avaient acquis avait une durée de vie limitée avant qu’il ne soit plus utilisable en tant qu’arme, essayèrent de le refourguer sur le marché des surplus le plus rapidement possible avant qu’il ne soit plus d’aucune utilité pour eux. Ainsi ils le refourguèrent à des nations ne se doutant de rien qui ne feraient que le conserver étant incpables de le tester. Ce furent les tests de fission en Corée du Nord.

(Note de l’éditeur: confirmé de sources multiples)

Lorsque tout le monde s’est rendu compte de la supercherie, comme le firent le Japon et la Corée (l’épisode des sous-marins coréens qui ont coulé etc), ils furent en colère, car ils se rendirent compte qu’ils avaient payé beaucoup d’argent pour de la camelote. Ceci vit le début d’une mini guerre froide avec israël et ses vieux clients. Quoi qu’il en soit, avec des micro-armes nucléaires, même lorsque le plutonium prend de l’âge, il produira toujours une fission suffisante pour une petite détonation sous la barre des 2 Kt en amplitude.

Ainsi elles peuvent toujours ètre utilisées comme petites “bombes sales” ou comme de petites minitions nucléaires tactiques comme par exemple lors des attaques à l’artillerie nucléaire à Damas avec des W-54 sous forme de roquettes.

(Note de l’éditeur: Attaque confirmée du 4 Mai 2013)

Dans la fabrication en W-54, le noyau est toujours de la forme d’une pilule et fait environ 10cm de diamètre et pèse environ 9,5kg.

La très vaste majorité du combustible nucléaire est consummé dans la boule de feu plasmique lors de l’explosion, il y a donc très très peu de plutonium dans les retombées radioactives. S’il est mélangé à d’autres matériaux, les retombées radioactives peuvent même être réduites à un très bas niveau tout comme dans les engins à radiation intensifiée appelée également “bombe à neutrons”. C’est ce qui a été utilisé en ce 11 septembre 2001.

Le but principal de l’arme nucléaire utilisée le 11 Septembre fut de produire un énorme flux de rayons gammas / neutrons qui vaporiseraient alors environ 60 à 90m de grosses poutres d’acier épaisses de 15cm, qui constituaient le cœur de la structure des tours du WTC. Ceci créa un phénomène de chute libre comme tout le monde l’a vu à la télévision ce jour là

(Note de l’éditeur: Information critique ici…)

Le flash lumineux serait caché de la vue à cause de la détonation qui se produit sous terre. La vaste majorité de la lumière était dans le spectre non-visible de toute façon. La surpression serait réduite à 6 PSI à cause de la détonation voyageant vers le haut et vers le cœur de la structure des bâtiments et les radiations à neutron vaporisant la grosse antenne de télévision se situant au sommet du bâtiment comme vu à la télévision.

Les retombées radioactives seraient essentiellement du ciment et du béton armé vaporisé et de l’oxyde de fer. C’est pourquoi après les évènements, ils ont dit a tout le monde à la télé que les brûlures de la peau dûes aux rayons béta , étaient dûes à la causticité du ciment des bâtiments et non pas aux radiations des retombées radioactives. (Note de l’éditeur: Information totalement confirmée)

L’oxyde de fer trouvé partout sur place était ce qu’il restait des poutres d’acier. Ceci représente ce qui a été appelé nano-thermite et qui fut trouvé partout. Les retombées radioactives ont été limitées à une zone 1,5km dans le centre de New York. Voir les cartes. (Note de l’éditeur: Les cartes ont été reçues)

La chute du niveau de radiation a ramené la zone dans la norme de sécurité radiologique après 72 heures (Note de l’éditeur: Information totalement confirmée) juste en dehors de Ground Zero. Voilà pourquoi la zone a été fermée au public pendant 3 jours après les évènements afin de permettre aux radiations de retourner à des niveaux de sécurité établis.

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