08 mars 2015

Double histoire


Des doutes exprimés sur la double histoire, les cités thématiques et le rôle de l’Amérique dans l’ancienne histoire. - Il y a maintenant beaucoup de preuves. À l’exemple, Strabon était un géographe patenté du début de notre ère qui nous a laissé de nombreux livres dans lesquels il a effectué de nombreuses mesures de distance entre les cités de l’époque, entre les lacs, les mers et les affluents. Pour simplifier la chose, aucune des distances laissées par Strabon n’est applicable au monde moderne.
Alors soit l’échelle de mesure utilisée par Strabon varie avec les mesures, soit qu’il était un loufoque, soit que la géographie de la planète a changée depuis ce moment, où encore l’histoire ne s’est pas déroulée là où c’est dit. Et puisque le travail a déjà été tout mâché, je vais te situer. Strabon mentionne que Toulouse est situé sur un isthme entre la Mer Méditerranée et la grande mer. Jusque-là tout va. En donnant la largeur de l’isthme, il donne aussi la distance entre les deux mers, ce qui une fois converti, donne 375 milles, ou 600 kilomètres. Or surprise, l’isthme qui relie la péninsule ibérique à la France moderne est de 375 kilomètres de largeur, pas 375 milles. - J’ai déjà expliqué que la Méditerranée moderne est un nom propre, mais que cela n’a pas toujours été ainsi. Dans l’histoire méditerranée est un nom commun donné à toute mer séparant deux terres. - J’ai aussi déjà raconté les détails d’une légende qui a cours parmi certains peuples du sud de la Méditerranée, dont le Maroc, à savoir que le Toulouse moderne n’était pas le Toulouse des anciens, situé à un endroit très différent. Il était dit que cet autre « Toulouse » allait réapparaitre après 1000 ans.- Mais le bout que personne ne sait, c’est qu’il existe véritablement un second « Toulouse » encore aujourd’hui, et il est situé sur un isthme de terre séparant la « mer entre deux terres » de la grande mer, avec un isthme qui mesure exactement 375 milles, la Nouvelle-Écosse. - Enfin, je ne peux passer sous silence l’origine possible de ce nom « Toulouse » qui dans la phonétique anglo-saxonne signifie « to lose », en français « à perdre », une signification qui pourrait concerner les prophéties du Colosse de Babylone. - Jusqu’à Pépin le Bref, l’histoire écrite des nations du Lys (français, anglais, espagnol, etc) s’est toute déroulée en Amérique. De là jusqu’à la découverte de l’Amérique en 1492, de nouveaux territoires sont divisés en Europe portant le nom des anciennes terres. Portant des côtes et une direction similaire à celle des livres, ces territoires ont été peuplés de ports aux noms anciens jusqu’à en faire un leurre acceptable aux yeux des anciens navigateurs et un circuit thématique acceptable avalisant du coup la fausse histoire moderne. Les scribes de l’histoire ont changé de place et ont commencé à présenter une histoire qui s’entremêle de faits des deux continents jusqu’à produire un amalgame de faits remaniés, une nouvelle géographie historique suffisamment robuste pour tenir tête aux plus connaisseurs du moment. Et s’il restait des doutes quelque part, la découverte du Nouveau Monde venait enterrer le dossier, puisque c’était là un monde nouveau et sans histoire. La Grande-Bretagne, l’Écosse et les villes anciennes qu’elles ont contenues à leurs origines sont des copies thématiques des côtes de la côte est de l’Amérique ancienne et des cités qu’elle contenait. Idem pour la France, qui a reçu les territoires et cités anciennes du Québec. L’Espagne se voyait affublée des territoires et cités du sud de la côte est et de l’intérieur du Golfe du Mexique, etc. La boucle était bouclée. L’Armorique nouvelle venait dissimuler la véritable, redécouverte plus tard sous le nom d’Amérique. C’est un stratagème qui s’est répété à quelques reprises et à différentes époques. Le fond de la Méditerranée moderne est un territoire thématique datant de l’époque biblique et répète l’ensemble des caractéristiques du véritable territoire, incluant sa découpe, la cité de Jérusalem et même la montagne de Turquie nommée Ararat sur laquelle on voit encore oh-mais-quelle-chance-inouie l’empreinte de l’Arche. La Grande-Bretagne, la France Atlantique et celle intérieure sont le fruit d’une seconde vague ayant eu lieu autour du début de notre ère. La France du Nord et la Belgique sont le fruit d’une troisième vague ayant eu lieu autour du premier millénaire. - Le reste, tout le reste, incluant l’histoire véritable a disparu. Voilà pourquoi le nord du Québec est pratiquement inaccessible ailleurs que dans les endroits contrôlés. Voilà pourquoi il est constamment labouré par les forestières qui s’acharnent à faire disparaitre des forêts les essences d’arbres-reliquats appartenant à ces peuples anciens. Voilà pourquoi les carrières de pierres s’installent là où elles s’installent. Voilà pourquoi tant d’argent est remis aux autochtones en échange de leurs territoires. Le Québec est un joyau de l’histoire ancienne, mais s’il est une richesse qu’il possède, c’est la clé de cette ancienne histoire. Il serait naïf de croire que tout ceci ne dépasse pas l’anecdote. Quelqu’un, quelque part s’efforce encore aujourd’hui, à très, très grand frais, de dissimuler l’ancienne histoire.

PDC

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