Récit d’un major de l’armée autrichienne : « Je me trouvais à la frontière. C’est la guerre ! »

Le jour le plus noir de ma vie. J’ai vu 5.000 occupants arrogants et agressifs prendre possession du territoire national autrichien, faisant leurs besoins sans gêne, se débarrassant de leurs déchets de manière absolument non civilisée, des choses que l’Autrichien ordinaire ne verra pas. Nos médias-mensonges n’informent pas sur la monstruosité de la situation.

Tout comme mon ancien commandant de régiment, le syndicat de police estime que la situation est explosive. Personne ne protège la population de la menace. Mon commandant affirme qu’il ne manque que la volonté d’agir. Selon lui, il est indispensable de prendre des mesures immédiates. Il ne s’agit pas d’une question de « pouvoir », mais de « vouloir ». Dans le cas d’une invasion de plusieurs centaines de milliers supplémentaires, que Dieu nous protège !

Les responsables de la capitulation, c’est-à-dire les politiciens rouges/noirs, ne représentent absolument plus les intérêts de la population autrichienne. Ils semblent répondre à des ordres de grands groupes, autrement dit des ordres de l’EU/USA, car ce déploiement de forces d’invasion n’est pas un hasard mais de la stratégie militaire !

C’est la guerre – on a le droit de le dire uniquement en Bulgarie. Nos politiciens et les médias apaisent – pipeau médiatique, comme autrefois l’orchestre du Titanic. De plus, les naïfs idéalistes autrichiens dansent joyeusement, reconnaissants pour la berceuse.

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Traduction via lesobservateurs.ch
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