Ancien commandant de la Légion étrangère, il est président de l’Union nationale de parachutistes. Membre d’élite de l’Armée française, il reste très respecté au sein et au-delà des milieux militaires.
Le militaire, désigné comme ayant eu «le rôle principal» dans la manifestation interdite de Pegida, sera poursuivi pour «participation à un attroupement qui ne s'est pas dissout après sommation», a annoncé une source judiciaire. Quatre autres personnes sont accusées de «port illégal d’armes».
Ils risquent une peine allant jusqu’à un an de prison ferme.
«On sait bien que la manifestation a été interdite et que l'autorité de l'Etat a été défiée. Le général, il n'est pas venu à Calais pour faire de la figuration», a déclaré à l'AFP le procureur de Boulogne-sur-Mer, Jean-Pierre Valensi.
Les quatres autres individus avaient été contrôlés en amont de la manifestation et portaient sur eux «des armes dangereuses» de type taser, poing américain et cutter. Ils sont soupçonnés d'intentions d'engendrer des perturbations de l'ordre public, a précisé le magistrat.
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