27 décembre 2016

Freedman : Histoire occultée des faux Hébreux


Benjamin Freedman fut élevé comme un « juif non pratiquant ». Il vivait à New York, et devint un homme d’affaire très efficace, et très riche. À une certaine période de sa vie, il était le principal actionnaire de l’immense Compagnie des Savons Woodbury.

Il fut témoin, et même un peu acteur, des manipulations qui permirent aux talmudistes de dominer la politique et les médias des États-Unis. Dans ses différentes fonctions au service des intérêts sionistes, il eut l’occasion d’avoir un grand nombre d’entretiens personnels et approfondis avec sept présidents des États-Unis.

À la fin de la seconde Guerre Mondiale, il fut écœuré par ce à quoi il avait assisté, et il devint dès lors un « transfuge du sionisme ». Il décida de révéler tout ce qu’il pourrait. Il rompit avec le judaïsme, et se convertit au catholicisme. En 1946, il fonda la Ligue pour la Paix et la Justice en Palestine ; puis passa le reste de sa vie, et une grande partie de sa fortune considérable, à lutter contre la tyrannie sioniste qui enserrait les États-Unis. Il consacra à cette activité plus de 2 millions et demi de dollars, tirés de son portefeuille personnel.

L’ironie du sort voulut que ce transfuge fut justement l’une des personnes qui devait avoir le plus de choses à raconter ; Benjamin Freedman avait appartenu au plus haut niveau de l’organisation juive. Il a connu personnellement : Bernard Baruch, Samuel Untermyer, Woodrow Wilson, Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy, et John F. Kennedy. Comme on l’a dit, Monsieur Freedman était très riche, et disposait d’un carnet d’adresses exceptionnel, ce sont sans doute les raisons qui l’ont maintenu en vie.

Le magazine Commentary, publié par le Comité Israélite Américain, l’appelle régulièrement : « le Juif antisémite ».

Arnold Forster, un haut fonctionnaire de la Ligue Anti-Diffamation du B’nai B’rith (A.D.L. : une sorte de CIA privée, travaillant pour le compte d’Israël, et qui épie les faits et gestes des patriotes américains), a défini Benjamin Freedman comme un « riche apostat juif, mu par la haine de soi » ; car lorsqu’un Juif non-talmudiste a une critique à faire sur les Juifs talmudistes, il est inévitablement mu par la haine de soi… il n’y a pas, il ne peut pas y avoir d’autre explication possible ! Mais Benjamin Freedman va nous montrer que tout repose sur une définition correcte du mot « Juif ».

Les faits historiques révélés ici pour la première fois fournissent la preuve incontestable quel la suppression continuelle de ces faits est hostile à la sécurité nationale, la paix dans le monde, le bien-être de l’humanité, et le progrès de la civilisation.

« Mon cher Docteur Goldstein, si le mot « Juif » et le mot « Judéen » désignaient une chose identique, comme cela devrait être le cas si l’on se basait uniquement sur leurs étymologies respectives, soyez bien persuadé que je ne me serais pas lancé dans toutes ces fastidieuses énumérations, et que l’emploi de l’un ou de l’autre pour désigner Jésus-Christ dans le Nouveau Testament ou ailleurs, me serait parfaitement égal. Mais voilà, dans l’esprit des gens, ce que désigne le mot « Judéen », et ce que désigne le mot « Juif », sont deux idées aussi éloignées l’une de l’autre que le blanc l’est du noir. Le mot « Juif » n’est jamais considéré comme synonyme de « Judéen », ni le mot « Judéen » comme synonyme du mot « Juif ». Ainsi que nous l’avons vu, lorsque le mot « Juif » fut introduit dans la langue anglaise au XVIIIe siècle, sa seule signification était celle de « Judéen ». Mais pendant les XVIIIe, XIXe, et XXe siècles, un groupe de pression international, très bien organisé et très bien financé, a généré un sens dérivé au mot « Juif ». Et ce sens dérivé, profondément implanté dans l’esprit des gens, n’a plus rien à voir avec le sens que le mot « Juif » (Jew) avait au XVIIIe siècle. Ce nouveau sens est le résultat d’une déformation calculée.

Le sens dérivé des mots supplante souvent leur sens initial… C’est le résultat d’une quantité astronomique d’argent, dépensée dans des campagnes publicitaires d’envergure mondiale. Aujourd’hui, si vous dites à l’un de vos amis : « passe-moi une Camel », il n’ira jamais vous chercher un chameau. De même que si vous lui demandez « un Coca », il n’ira jamais vous déterrer un arbuste en Amérique du Sud. Ainsi, les sens dérivés parviennent à éclipser presque complètement le sens correct et initial des mots dans l’esprit des gens. Et le sens dérivé du mot Jew aujourd’hui ne fait pas exception, il a pratiquement éclipsé le sens correct et initial du mot Jew, lorsque celui-ci a été introduit dans la langue anglaise, au XVIIIe siècle. Un tel phénomène n’est pas rare.

D’ailleurs, la Cour suprême des États-Unis a reconnu la validité des sens dérivés des mots. L’instance juridique suprême de notre pays nous a donné une loi fondamentale selon laquelle « les sens dérivés des mots peuvent acquérir un droit de préséance sur la définition de n’importe quel dictionnaire ». Et pendant trois siècles, une campagne mondiale abondamment financée et précisément minutée, ayant à son actif tous les médias disponibles du monde entier, a développé un sens secondaire au mot « Juif », qui a fini par oblitérer totalement le sens correct et initial du mot « Juif ». Il n’y a pas l’ombre d’un doute à ce sujet.

Plus une seule personne dans tout le monde anglophone, ne considère encore aujourd’hui un « Juif » comme un « Judéen » au sens littéral. Alors que c’était le seul sens de ce mot au XVIIIe siècle. Dans l’esprit des gens, le mot « Juif » fait maintenant référence à un ensemble de cinq théories qui sont universellement admises :
  • Un « Juif » est une personne qui professe la religion du judaïsme.
  • Un « Juif » est une personne qui appartient à un groupe racial lié aux anciens Sémites.
  • Un « Juif » est une personne dont les ancêtres appartenaient à une nation qui prospérait aux temps bibliques dans la zone géographique de la Palestine : les Israélites, ou les Hébreux.
  • Un « Juif » est une personne qui bénéficie de par son origine d’une sorte d’élection divine, et qui présente de part son histoire des caractéristiques culturelles supérieures, dont les autres races sont dépourvues.
  • Un « Juif » est « Juif » tout à la fois par sa race, sa religion et son identité nationale.[2]
Or mon cher Docteur Goldstein, ce sens dérivé du mot « Juif » est la cause principale des confusions récentes qui s’observent dans l’esprit des chrétiens au sujets des principes fondamentaux de la foi chrétienne. C’est même la cause principale de la dissolution de la foi chrétienne.

Cependant, sachez que tous les sous-entendus qui se cachent maintenant derrière le mot « Juif », sont petit à petit replacés dans leur juste perspective par un nombre croissant de chrétiens sensés dans ce pays… De tels chrétiens savent que ces sous-entendus sont en contradiction flagrante avec des faits historiques certains. Depuis longtemps déjà, les chrétiens qui ne tolèrent plus qu’on les prenne pour des imbéciles, soupçonnent la hiérarchie ecclésiastique qui lui régurgite à longueur de dimanche son cantique préféré : « Jésus était juif », « Jésus était juif », « et Marie… était juive ! ». Leur litanie commence même à friser la psychose.

Un nombre incalculable de chrétiens comprend que le clergé leur a fait subir un véritable lavage de cerveau, en les matraquant systématiquement par cette phrase : « Jésus était juif, alors vous comprenez… ». Les chrétiens ne veulent désormais entendre qu’une seule chose de la part du clergé : « la vérité, toute la vérité, et rien que la vérité ». Il est urgent maintenant que le clergé dise aux chrétiens ce qu’il aurait dû leur dire depuis longtemps ; car de tous les groupes religieux du monde, les chrétiens sont les moins informés sur ces questions qui les concernent pourtant de très près… La hiérarchie ecclésiastique aurait-elle fait quelques compromis avec la vérité ?

Mon cher Docteur Goldstein, je pense que vous allez être aussi étonné que le furent les 150 millions de chrétiens de ce pays, lorsqu’il y a quelques années, j’ai électrisé la nation avec mes premières révélations sur l’origine et l’histoire des « Juifs » d’Europe orientale (prétendus ou autoproclamés tels). Ces révélations m’avaient coûté de nombreuses années de recherche. Et mes recherches établissent sans l’ombre d’un doute, et à l’opposé de la croyance généralement répandue chez les chrétiens, que les « Juifs » d’Europe orientale ne furent à aucun moment de leur histoire les légendaires « dix tribus perdues d’Israël », comme ils se plaisent à le raconter. Ce mensonge historique est maintenant solidement prouvé.

Des recherches implacables ont montré que les « Juifs » d’Europe orientale ne peuvent légitimement se réclamer d’un seul ancêtre ayant mis un pied sur le sol de Palestine pendant l’ère biblique. La recherche a également révélé que les « Juifs » d’Europe orientale ne furent jamais des « Sémites », ne sont pas aujourd’hui des « Sémites », ni ne pourront jamais être considérés comme des « Sémites », même avec toute l’imagination qu’on voudra. Une enquête exhaustive rejette de manière irréfutable la croyance généralement admise selon laquelle les « Juifs » d’Europe orientale sont « le peuple élu », suivant l’expression consacrée de nos prédicateurs. La recherche dénonce cette thèse comme la plus fantastique des fabrications de l’histoire[2].

Mon cher Docteur Goldstein, peut-être allez-vous pouvoir m’expliquer pourquoi, comment, et par qui, l’origine et l’histoire des Khazars et du Royaume de Khazarie, ont été si bien cachées pendant tant de siècles ? Quelle mystérieuse force a été capable pendant une multitude de générations, de rayer les origines et l’histoire des Khazars de tous les livres d’histoire, et ce dans tous les pays du monde, alors que l’histoire des Khazars et de leur royaume repose sur des faits historiques incontestables ? Faits historiques qui ont une relation certaine avec l’histoire des « Juifs » d’Europe orientale (prétendus ou autoproclamés). L’origine et l’histoire des Khazars et du royaume Khazar, l’origine et l’histoire des « Juifs » d’Europe orientale (prétendus ou autoproclamés), furent l’un des secrets les mieux gardés de l’histoire, jusqu’à ce qu’une large publicité en ait été faite par moi ces dernières années. Ne pensez-vous pas, mon cher Docteur Goldstein, qu’il est temps que toute l’affaire soit tirée au clair pour le public ?

Avant le Xe siècle, le royaume des Khazars avait déjà été réduit par les Russes à la dimension d’environ 1 300 000 km². Mais comme vous pouvez le constater sur la carte de l’Encyclopaedia Judaica, sa surface au Xe siècle était encore bien plus grande que celle d’aucune autre nation. La population du royaume Khazar était composée pour la plus grande partie de Khazars, et pour le reste, par les quelque vingt-cinq nations d’agriculteurs pacifiques, qui peuplaient ces terres d’approximativement 1 600 000 km², avant qu’elles ne soient envahies par les Khazars.

Au premier siècle avant Jésus-Christ, les Khazars, partis de leur mère patrie en Asie, ont envahi l’Europe orientale. Ils ont envahi l’Europe Orientale par la route naturelle des steppes, entre les Monts de l’Oural au Nord et la mer Caspienne au Sud.

Les Khazars n’étaient pas des « Sémites ». Mais une nation Asiatique, de type mongoloïde. Selon les classifications des anthropologistes modernes ce sont des turco-finnois. Depuis des temps immémoriaux, la patrie des Khazars se trouvait au cour de l’Asie. Ils étaient une nation très belliqueuse. Les Khazars furent finalement chassés de l’Asie par les peuples avec lesquels ils étaient continuellement en guerre. Et ils envahirent l’Europe orientale afin d’échapper à de plus amples défaites chez eux. Les très belliqueux Khazars n’éprouvèrent guère de difficultés à soumettre les vingt-cinq nations de paysans pacifiques, qui occupaient approximativement 1 600 000 km² en Europe orientale. En une période relativement courte, les Khazars établirent le plus grand et le plus puissant royaume d’Europe, et probablement le plus riche.

Les Khazars étaient des païens, lorsqu’ils envahirent l’Europe orientale. Leur pratique religieuse était un mélange du culte phallique, et d’autres formes de cultes idolâtriques pratiqués en Asie par les nations païennes. De tels cultes se sont maintenus en Khazarie jusqu’au VIIe siècle. Les excès sexuels que pratiquaient les Khazars pour « célébrer » leurs cultes religieux les amenèrent à un degré de dégénérescence morale que leur roi ne pouvait plus tolérer. Au VIIe siècle, le roi Bulan décida d’abolir la pratique du culte phallique, ainsi que celle des autres cultes idolâtriques, et choisit l’une des trois religions monothéistes (qu’il connaissait très peu), pour religion d’état. Après avoir fait venir des représentants des trois religions monothéistes, le roi Bulan rejeta le christianisme et l’islam, et choisit comme future religion d’état le culte religieux connu à l’époque sous le nom de « talmudisme », et aujourd’hui connu et pratiqué sous le nom de « judaïsme ». Cet événement est attesté par de nombreux documents.

Le roi Bulan et les 4 000 nobles du système féodal de Khazarie furent rapidement convertis par des rabbins importés de Babylonie à cet effet. Le culte phallique et les autres formes d’idolâtrie furent dès lors interdits. Les rois Khazars invitèrent un grand nombre de rabbins pour ouvrir des synagogues et des écoles, afin d’instruire la population dans la nouvelle religion. Le judaïsme était devenu la religion d’état. Ces Khazars convertis furent la première population de « juifs » (prétendus ou autoproclamés) en Europe orientale. Les « juifs » (prétendus ou autoproclamés) d’Europe orientale, ne sont rien d’autre que les descendants directs des Khazars qui se sont convertis en masse au talmudisme au VIIe siècle de notre ère.

Après la conversion du roi Bulan, seul un « juif » (prétendu ou autoproclamé) pouvait monter sur le trône ; le royaume Khazar devient une théocratie : les autorités religieuses étaient les mêmes que les autorités civiles. Les rabbins imposèrent l’enseignement du Talmud aux populations comme la seule règle de vie possible. L’idéologie du Talmud devint la source de toutes les attitudes politiques, culturelles, économiques et sociales, d’un bout à l’autre du royaume Khazar. Le Talmud avait réponse à tout.

Depuis la victoire des Russes, et la disparition du royaume khazar, la langue khazare est connue sous le nom de « yiddish ». Depuis environ six siècles, les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) d’Europe orientale, se désignent dans tous les pays où on les retrouve après la dislocation de leur royaume, comme étant de nationalité « yiddish ». Ils se désignent comme des « Yiddish », plutôt que comme des Russes, des Polonais, des Galiciens, des Lithuaniens, des Roumains, des Hongrois, etc., ils se refusent d’adopter comme tous les autres peuples, le nom du territoire dans lequel ils ont été absorbés. Ils désignent également leur langue commune comme étant « le yiddish ». Comme vous le savez, mon cher Docteur Goldstein, il existe aujourd’hui à New York un grand nombre de journaux « yiddish », des théâtres « yiddish », et beaucoup d’autres institutions culturelles pour les « Juifs » d’Europe orientale, qui sont publiquement désignées ou répertoriées sous le mot « yiddish ».

Avant qu’elle ne commence à être connue sous le nom de « langue yiddish », la langue maternelle des Khazars, dont le vocabulaire était assez limité, s’est accrue de nombreux mots nouveaux, suivant que les circonstances le réclamaient. Ces mots furent piochés dans le vocabulaire des nations avoisinantes, avec lesquelles les Khazars avaient des relations politiques, sociales ou commerciales. Toutes les langues augmentent leur vocabulaire de cette façon. Les Khazars adaptèrent donc à leurs besoins des mots issus de l’allemand, du slavon, et du baltique. Mais c’est à l’allemand que les Khazars prirent le plus grand nombre de mots. En effet, les Allemands avaient une civilisation beaucoup plus développée que leurs voisins, et ces derniers envoyaient leurs enfants dans des écoles et des universités allemandes.

La langue « yiddish » n’est pas du tout un dialecte de l’allemand. Beaucoup de personnes sont portées à le croire uniquement parce que le yiddish a emprunté un très grand nombre de mots à l’allemand. Si le « yiddish » était un dialecte allemand, issu de la langue allemande, alors quelle était la langue parlée par les Khazars pendant les 1 000 années où ils vécurent en Europe orientale, avant qu’ils n’acquièrent une certaine culture de la part des Allemands ? Les Khazars devaient bien posséder un langage lorsqu’ils envahirent l’Europe orientale… Quand l’auraient-ils donc mis au rebut ? Comment expliquer qu’une population entière renonce à sa langue maternelle, pour en adopter d’un coup une toute nouvelle ? Cette théorie est trop absurde pour être retenue. « Le yiddish » est l’appellation moderne de l’ancienne langue maternelle des Khazars, qui s’est adjoint, en les adaptant, des termes allemands, slavons et baltiques.

De même, le yiddish ne doit pas être confondu avec l’hébreu, parce que ces langues se servent toutes deux du même alphabet. Il n’y a pas un seul mot en yiddish, qui existait aussi en hébreu. Ainsi que je l’ai déclaré auparavant, ces deux langues sont aussi hétérogènes que le sont par exemple le suédois et l’espagnol, qui utilisent pourtant le même alphabet latin.

Sur le plan culturel, la langue yiddish est le dénominateur commun de tous les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) d’Europe orientale, ou en provenance d’Europe orientale. Ces « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) utilisent le yiddish, exactement de la même manière que les habitants de nos 48 états utilisent l’anglais dans leurs relations quotidiennes. Sur le plan culturel, le dénominateur commun des habitants de nos 48 états est la langue anglaise, et reste la langue anglaise quel que soit l’état ou le pays où tel ou tel Américain décide de s’installer. La langue anglaise est le lien qui nous unit les uns aux autres. C’est exactement la même chose en ce qui concerne la langue yiddish et les Juifs (prétendus ou autoproclamés) de part le monde.

Ce dénominateur commun remplit une autre fonction très utile pour les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) éparpillés sur toute la surface du monde. Grâce au yiddish, ces « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) possèdent ce dont aucune autre nation, aucune autre race, et aucune autre religion, ne peut se prévaloir… Approximativement 90 % des « Juifs » (prétendus ou autoproclamés), vivant aujourd’hui dans 42 pays du monde, sont soit des émigrés en provenance d’Europe orientale, soit des fils d’émigrés en provenance d’Europe orientale. Le yiddish est soit leur langue maternelle, soit la seconde langue qu’ils utilisent. Le yiddish est une langue commune pour eux. Le yiddish est une langue internationale pour eux : une sorte d’espéranto. Quel que soit le pays du monde où ils vont s’installer, ils vont toujours y trouver des coreligionnaires qui parlent également le yiddish. Sur le plan des affaires internationales, l’usage du yiddish offre donc des avantages trop évidents pour être décrits ici. Le yiddish est la langue moderne d’une nation qui a perdu son existence en tant que nation. Le yiddish n’a jamais eu de connotation religieuse ou sacrée, même s’il utilise les lettres hébraïques comme alphabet. « Yiddish » ne devrait donc pas être confondu avec « Juif » et « judaïsme »… Or c’est pourtant toujours le cas.

Au nord du royaume Khazar, à l’époque où il était au sommet de sa puissance, vers l’année 820 de notre ère, un petit état slave avait pris pied sur la rive sud du Golfe de Finlande, juste au niveau où ce golfe donne sur la mer Baltique. Ce petit état fut créé par un petit groupe de Varègues provenant de la péninsule scandinave, de l’autre côté de la mer Baltique. La population de ce nouvel état était composée de nomades de race slave, qui étaient déjà installés ici au tout début des temps historiques. Cette jeune nation était à son origine aussi petite que notre état du Delaware. Quoi qu’il en soit, ce nouveau-né parmi les états est l’embryon d’où va sortir l’empire russe tout entier. Depuis 820, et en moins de 1000 années, cette nation va élargir ses frontières par des victoires ininterrompues, jusqu’à atteindre la taille actuelle de 15 300 000 km², de l’Europe à l’autre bout de l’Asie, soit plus de trois fois la surface de tous les États-Unis d’Amérique… Et ils n’ont pas fini.

Pendant les Xe, XIe, XIIe et XIIIe siècles, la nation russe en pleine expansion a grignoté progressivement le royaume khazar, son voisin direct au sud. La conquête du royaume khazar par les Russes fournit à l’histoire l’explication sur la concentration importante et brutale de « Juifs » en Russie, au XIIIe siècle. Après la destruction du royaume khazar, les nombreux « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) de Russie, et de toute l’Europe orientale, n’étaient plus connus comme « des Khazars », mais comme « les populations yiddish » de tous ces pays. Et c’est encore ainsi qu’ils se désignent aujourd’hui.

Au cours de ses nombreuses guerres avec ses voisins européens après le XIIIe siècle, la Russie a tout de même dû céder des territoires importants, qui faisaient originairement partie du royaume khazar. C’est ainsi que la Pologne, la Lituanie, la Galicie, la Hongrie, la Roumanie, et l’Autriche, acquirent de la Russie certains territoires qui faisaient originellement partie du royaume khazar. Et avec ces territoires, ces nations héritèrent aussi de nombreux « Juifs » (prétendus ou autoproclamés), descendants des Khazars, et qui étaient demeurés sur le sol de leur ancien royaume. Ces fréquents partages de frontières entre les différentes nations d’Europe orientale expliquent la présence actuelle de « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) dans tous ces pays. Leur langage commun, leur culture commune, leur religion commune, et leurs caractéristiques raciales communes, classent ces « Juifs » sans le moindre doute comme les descendants des Khazars, peuple qui commença à envahir l’Europe orientale au premier siècle avant Jésus-Christ, et qui se convertit au « talmudisme » au VIIe siècle de notre ère.

Dans tout le monde actuel, les « Juifs » d’Europe orientale (prétendus ou autoproclamés tels), composent au moins 90 % de toute la population « juive ». La conversion du roi Bulan (suivie de celle de la nation khazare) est au Talmudisme ce que la conversion de l’Empereur Constantin (suivie de celle des nations occidentales) est au christianisme [lire : catholicisme]. Avant la conversion de Constantin, le christianisme était une religion relativement peu importante, pratiquée principalement dans les pays situés sur le rivage oriental de la Méditerranée ; mais avec sa conversion, l’Empereur Constantin entraîna avec lui toutes les populations païennes de l’Europe occidentale. Le talmudisme (c’est-à-dire, le judaïsme, qui est le nom actuel du talmudisme) connut le plus grand essor de toute son histoire par la conversion de l’immense population khazare, au cours du VIIe siècle. Sans la conversion des Khazars, il est probable que le talmudisme n’aurait pas survécu face au christianisme et à l’islam. Sans la conversion des Khazars, le judaïsme n’aurait probablement pas existé. Le talmudisme, c’est-à-dire le code civil et religieux des pharisiens, aurait disparu, exactement comme a disparu le grand nombre des pratiques religieuses qui existaient dans ces régions, avant que le pharisaïsme ne les supplante au tout début de notre ère. Au VIIe siècle, le talmudisme aurait disparu, car au VIIe siècle, le talmudisme était engagé sur la voie de son plus parfait oubli.

En l’an 986, le prince de Russie, Vladimir III, se convertit à la foi chrétienne, pour épouser une princesse catholique slavonne d’un état voisin. C’était une condition nécessaire pour qu’un tel mariage puisse avoir lieu. Et le prince Vladimir III, fit de sa nouvelle religion, la religion d’état de toute la Russie, remplaçant ainsi le culte païen, pratiqué en Russie depuis sa fondation qui remonte à l’an 820. Vladimir III et ses successeurs tentèrent de convertir au christianisme les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) vivant sur leur territoire, et qui de fait, auraient dû devenir des sujets comme les autres de la monarchie russe. Ils tentèrent également de leur faire adopter les coutumes et la culture de la population chrétienne russe, qui composait la majorité de la population. Mais tous ces efforts furent vains, les « juifs » (prétendus ou autoproclamés) de Russie, refusèrent un tel projet, et lui résistèrent le plus vigoureusement possible. Ils refusèrent d’adopter l’alphabet russe à la place des caractères hébreux dont ils se servaient pour l’écriture du yiddish. Ils résistèrent à l’adoption de la langue russe à la place du yiddish. Ils s’opposèrent à toutes les tentatives visant à l’assimilation de la nation khazare dans la nation russe. Ils résistèrent par tous les moyens dont ils pouvaient disposer. Les nombreuses tensions qui en résultèrent produisirent des situations que les historiens ont décrites par les mots : « massacres », « pogromes », « persécutions », « discrimination », etc.

Le mot « antisémite » est encore un mot qu’on devrait retirer de la langue anglaise. Aujourd’hui, le mot « antisémite » ne sert plus qu’un seul objectif : c’est devenu le mot clef de la diffamation. Lorsque les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) sentent qu’un quidam va s’opposer à l’un de leurs objectifs quelconques, ils le prennent immédiatement pour cible, et ils le discréditent en lui collant systématiquement l’étiquette « antisémite ! ». Et ils le font dans tous les médias qu’ils possèdent ou qu’ils contrôlent indirectement. Je parle ici après une longue expérience personnelle, vous pouvez me croire. Lorsqu’en 1946, j’ai fait ma première déclaration publique sur les événements de Palestine, mes anciens coreligionnaires ont été bien incapables de me réfuter, ils ont donc dépensé des millions de dollars pour me salir, en faisant soudain de moi un grossier « antisémite » ; espérant par là me discréditer aux yeux du public qui manifestait pourtant un grand intérêt à ce que je lui disais. Jusqu’en 1946, j’étais un « petit Saint » pour tous les « Juifs » de ce pays (prétendus ou autoproclamés tels). Mais lorsque j’ai manifesté publiquement mon désaccord envers la politique sioniste en Palestine, je suis devenu d’un coup : « l’antisémite numéro 1 ».

Il est honteux de voir comment le clergé chrétien reprend à son compte l’usage à tout propos du terme : « antisémite ». Les prêtres devraient chercher à savoir de quoi ils parlent. Ils savent pourtant bien que ce mot n’a pas le moindre sens dans l’usage qu’on lui donne aujourd’hui. Ils savent que le terme correct pour désigner une personne qui s’opposerait au judaïsme en tant que religion, n’est pas « anti-sémite », mais bien « judéo-phobe ». Mais s’ils ont préféré la racine « -sémite », à la racine « judéo- », c’est justement pour forger un terme de diffamation ; sachant pertinemment que dans l’esprit des chrétiens, le mot « Sémite » est étroitement lié à celui de « Jésus-Christ ». En tolérant l’usage de ce mot de diffamation, les chrétiens sont devenus des instruments dans l’entreprise de destruction de leur propre foi ; puisque ce mot permet de persécuter, puis de réduire au silence, tous les chrétiens qui s’opposent à la conspiration. (…)

Le plus grand crime de tous les crimes de toute l’histoire (le crime des crimes si vous voulez), l’iniquité qui dépasse toute mesure sur le plan de la politique internationale, a vu le jour en Palestine, il y a quelques années, presque par la seule conséquence de l’intervention des États-Unis, sous l’instigation de l’Organisation Sioniste Internationale, dont le quartier général se trouve à New York. Cette intervention des États-Unis du côté des agresseurs illustre mieux que tout autre exemple la puissance que peuvent avoir sur notre gouvernement ces « chrétiens travestis », qui agissent impunément pour le compte des conspirateurs sionistes… Cette intervention fut la page la plus sombre de toute notre histoire.

La responsabilité d’avoir voulu se compromettre dans cette cause a-chrétienne, anti-chrétienne et non-chrétienne, peut être entièrement inscrite au passif du clergé chrétien. Ce sont eux les seuls coupables de ce crime infernal, commis au nom de la charité chrétienne. Chaque dimanche, d’une saison à l’autre et d’une année sur l’autre, le clergé nous a hurlé dans les oreilles que notre « devoir de chrétien » était de soutenir la conquête sioniste de la Palestine. C’est à nous, les 150 000 000 de chrétiens qui vont régulièrement à la messe, que le clergé a dit cela, vous le savez bien. Maintenant, vous connaissez l’expression : qui sème le vent…

Les 150 000 000 de chrétiens des États-Unis ont été soumis à une très haute pression de la part du clergé, pour qu’ils accordent leur soutien inconditionnel au programme sioniste du « retour » de ces « Juifs » d’Europe orientale dans leur « patrie » de Palestine… « Juifs » prétendus et autoproclamés, qui étaient en réalité les descendants des Khazars. Le clergé nous a sommés de considérer les « Juifs » d’Europe orientale (prétendus ou autoproclamés tels), comme étant le « peuple élu » par Dieu, et que la Palestine était leur « Terre Promise ». Mais en vérité notre clergé savait pertinemment ce qu’il en était. Mon cher Docteur Goldstein, vous pouvez être bien certain que c’est leur cupidité et non leur stupidité qui les a poussés à nous cacher la vérité.

Comme la conséquence directe des activités de ces « chrétiens-travestis », travaillant pour le compte des sionistes, et à l’encontre de toutes les lois internationales, à l’encontre de la justice et de l’équité la plus élémentaire, les 150 millions de chrétiens des États-Unis d’Amérique demandèrent, à peu d’exception près, que le Congrès mette en ouvre tout le prestige et toute la puissance de notre nation, sur les plans diplomatiques, économiques et militaires, pour garantir un résultat heureux au programme sioniste de conquête de la Palestine. Nous sommes directement responsables.

C’est un fait historique bien établi que la participation active des États-Unis à la conquête de la Palestine par les sionistes, fut la condition nécessaire de son succès. Sans la participation active des États-Unis sous l’instigation des sionistes, il est certain que les sionistes n’auraient jamais entrepris la conquête de ce pays par la force des armes. Et la Palestine d’aujourd’hui serait un état indépendant et souverain, que le processus de décolonisation aurait transformé en une nation autodéterminée. Cela fut empêché par le versement de millions de dollar aux « chrétiens-travestis », sur une échelle qu’un novice en cette question de corruption aurait passablement de difficultés à concevoir.

(Source : Facts are Facts, L’HISTOIRE OCCULTÉE DES FAUX HÉBREUX : LES KHAZARS par Benjamin H. Freedman. LES JUIFS MODERNES NE DESCENDENT PAS D’ISRAËL !, 1954 , Cette traduction est consultable en entier ici.)

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