24 mars 2017

Prophétie cachée de Nostradamus ? Rendez-vous le 12 août 2017...


Cachée partout dans la poésie et la prose de Nostradamus, sa Prophétie ressemble à une gigantesque toile d'araignée couvrant la période de 1557 à 2017, tous les événements dont elle parle étant reliés, directement ou indirectement, à un seul et unique événement futur.

En août 2017, en Chine, la Révolution frappe de nouveau, alors qu'une horde de Communistes purs et durs envahit l'ambassade des États-Unis d'Amérique à Pékin, s'empare de tout son personnel diplomatique masculin, conduit ces 79 otages sur la place Tienanmen et, sous les yeux du monde entier, les égorge tous.

Washington est prise d'une rage plus grande que celle qui suivit l'attaque japonaise de Pearl Harbor. Vengeance ! Un ordre est aussitôt donné d'annihiler Tienanmen.

Tout se passe trop rapidement. Ce samedi soir tranquille (heure des États-Unis), c'est une jeune recrue de service qui reçoit l'ordre de cibler Tienanmen. Trop nerveux, trop excité, trop enragé par ce qu'il vient de voir, au lieu de suivre calmement la procédure établie, ce jeune soldat exécute l'ordre reçu mais sans faire attention à ce qu'il fait. Consulte-t-il un livret de codes, ou regarde-t-il un écran ? Tout ce qu'il a à faire, c'est de lire le nom de la cible, chercher le code qui lui correspond, l'inscrire dans son ordinateur et le tour est joué.

C'est ce qu'il fait, oui, mais il le fait mal. Au lieu de bien aligner la cible et son code, c'est le code situé plus haut qu'il lit. Quelle est la cible correspondant à ce code ? C'est Paris, plus précisément la place de la Concorde.

Le jeune homme inscrit donc ce qu'il croit être le code pour Tienanmen, les coordonnées de la Concorde sont transmises au système de guidage de la fusée sans qu'il le sache, le missile est prêt à partir.

Fraîchement élu depuis novembre 2016 et entré en fonctions en janvier 2017, le Président des États-Unis, Joseph Patrick Kennedy III, donne l'ordre de lancement. Le missile quitte son silo … 3h30 du matin, heure de Paris, le lancement ayant reçu toutes les autorisations nécessaires.

En France, le temps est splendide. Paris accueille à bras ouverts ses milliers de touristes de la mi-août, plusieurs étant venus spécialement pour ridiculiser la Prophétie de Nostradamus. Les États-Unis ont même envoyé un touriste bien spécial, un vieillard proche du Gouvernement, parfaitement au courant des us et coutumes des militaires américains, venu à Paris rassurer les bons Parisiens qui ne courent absolument aucun danger en ce weekend fatidique des 12 et 13 août 2017.

À 3h53 du matin, heure de Paris, tout comme des millions d'autres, il est cuit instantanément par "la grosse chaleur de l'Atome", selon l'expression de Nostradamus. Le missile est arrivé. Dans la région parisienne, où l'on observe le ciel étoilé, l'éclair provenant de la ville fait d'abord penser à des feux d'artifice. Si tard ? Peut-être que les Parisiens, par un si beau temps, ont décidé de célébrer un peu plus tard que d'habitude.

Dans la cité, c'est l'Enfer. Le centre de Paris est en ruines, du métal fondu, tordu, est tout ce qui reste de la fière Tour Eiffel, Notre-Dame n'est plus belle à voir, ses pierres noires de suie, la Seine a complètement bouilli, des corps frits jonchent son lit.

Un peu plus tard, il neige. De la neige, en août, à Paris ? Impossible, voyons. Ceux qui n'ont pas été cuits par la grosse chaleur de l'atome et qui n'ont pas immédiatement fui les lieux sont prisonniers de "la peste d'atome" comme l'appelle aussi Nostradamus, ces retombées radioactives qui empoisonnent tout, l'air, l'eau, la nourriture. Ces survivants de l'explosion elle-même mourront tous de cette "peste".

Plusieurs braves se précipiteront au Sacré-Coeur de Montmartre pour appeler à l'aide. En vain. Ils sonnent la cloche durant deux jours, jusqu'à ce qu'elle casse. Personne ne vient. Paris est abandonné.

Les trésors littéraires de Paris ont brûlé, ses précieux tableaux aussi. Seules les réserves de la Banque de France ont été sauvées. Le Président de la République s'en est chargé, en secret. Il n'a pas voulu risquer la ruine de la France et a obtenu la collaboration de son homologue québécois pour entreposer ce trésor outre-Atlantique.

Un nouveau pape, tout juste élu à Paris, appelle une fois de plus au désarmement nucléaire. La seule réponse de l'US sera de démanteler son système de ciblage tous azimuts, au cas où. Pour Paris, il est trop tard.

À Londres, c'est le roi Georges VII qui confirme dans une allocution télévisée le sort de Paris, ordonnant pour l'occasion un deuil national. Pourquoi ? Ses deux fils étaient à Paris. Mais cette fois, il sera incapable d'aller y récupérer leurs corps, alors qu'il avait pu le faire pour celui de leur mère.

À New York, à la demande du Royaume-Uni, le Conseil de Sécurité des Nations unies s'est réuni. Les États-Unis nient d'abord tout, il n'y a aucune preuve de ce qui est arrivé. On dépêchera alors sous le ciel de Paris des avions de reconnaissance photographique pour en ramener. La France réclame de l'aide pour les survivants. La Chine lui offre sa précieuse nourriture. Comme d'habitude, durant plusieurs jours, on ergote aux Nations unies. Pas étonnant, car... la Chine vote elle aussi !

Durant six jours, Paris sera laissé à l'abandon. Lorsque l'aide de l'ONU arrive finalement, il est trop tard pour les premiers soins. Tout ce que l'US pourra offrir, ce sont des milliards de dollars de dommages pour une cité qui n'avait pas de prix.

Sur ordre du Gouvernement français, la nouvelle capitale sera Marseille, en Provence, le propre pays de Nostradamus. Car au Nord, comme le chantait en son temps Claude Nougaro, Y'avait une ville, et y'a plus rien.

Voilà en quoi consiste la Prophétie cachée de Nostradamus dont la découverte eut lieu loin de France, dans mon beau Toronto. mon seul mérite ayant été de l'avoir trouvée partout dans sa poésie et sa prose chiffrées. Cela fait aussi partie de la Prophétie.

Claude Latrémouille
Le 4 mars 2004
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