Nous sommes devant une stratégie...

Ce sont des groupes de l’Université de Concordia qui sont venus faire la merde à Québec. C’est un groupe aux visées révolutionnaires QPIRG qui existe depuis quelques années sous la gouverne de Jaggi Singh qui en reçoit un salaire de $37 000 par an, et se finance à même l’argent des étudiants sous l’œil complaisant de l’administration de l’université. Rappelons que 45 000 étudiants sont engagés à l’Université Concordia, dont 7 000 provenaient de l’étranger en 2015. Écoutez-le. - Nous sommes devant une stratégie dont vous pourrez constater l’application tout autour, même chez nos voisins américains (et Européens !). Elle consiste à briser les symboles unifiants, en les diminuant, en les amenuisant, jusqu’à ce que plus personne n’y retrouve la ferveur. C’est un préalable nécessaire à la mise en place d’autres symboles, d’autres valeurs. Diviser par la querelle et la zizanie dans tous les sous-groupes de la société, en mettant en évidence ce qui offense, ce qui cingle, ce qui éveille les tensions et l’acrimonie. - Soudainement le natif est noyé dans une mer de considérations nouvelles qui n’ont jamais été soulevées auparavant. La nouvelle sale de nous-mêmes fait la norme. De la corruption, des crimes crapuleux, des pédophiles, des maisons de traites d’humains, des drogues destructrices, des opinions controversées, des nouvelles peu recherchées qui ne grattent pas plus loin que la surface. Alors que le crime ne dépassait pas l’entrefilet sur le vol à main armée il y a 40 ans, les journaux et autres médias en sont pleins. - La religion, la langue et la nation sont les trois symboles que possèdent les Québécois. - Cacher le crucifix et laisser les églises à l’abandon auraient été une idée farfelue il y a 80 ans à peine. Afficher ouvertement son attachement religieux est aujourd’hui un acte qui ne peut que paraitre illuminé si on l’ajoute aux changements que la venue musulmane a imposés. Et pourtant, la croix constitue un symbole puissant et fut un cri de ralliement imparable dans l’histoire, charriant des valeurs profondes que tous veulent dans leur vie et celle du voisin. - Regardez donc comme on nous enseigne que notre attachement à la langue n’est finalement pas si important, « on ne parle même pas un bon français » et que maintenant plein de monde souhaite l’anglais, même les écoles. Que notre attachement à la nationalité, ronde des sondages à l’appui, s’effrite. Évaluez vos abreuvoirs de nouvelles et les tendances qui y sont communiquées. Voyez l’escalade des « isme ». Révisionniste, raciste, fasciste, anti-fasciste, anarchiste et j’en oublie certainement.

PDC

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