05 novembre 2017

Une ville engloutie découverte au beau milieu de l'Océan Pacifique


Des falaises massives situées au beau milieu de l'océan Pacifique, de manière très structurées, comme si ce n'était pas un hasard. Des scientifiques sont en train d'étudier des ruines sur une île reculée de Pohnpei en Micronésie. Les murs de pierre donnent l'impression de cacher quelque chose de plus conséquent, selon Science Channel. L'emplacement mystérieux de Nan Madol pourrait cacher une ville engloutie qui ressemblerait à l'Atlantide, la mythique cité perdue.


Depuis 2016, l'ile de Pohnpei fait partie du patrimoine de l'UNESCO. Jusqu'à présent, on ne connaissait quasi rien de son origine. La raison est simple: elle est en partie engloutie.

Des archéologues se sont penchés sur la question dans le documentaire 'What on Earth?". Ils expliquent que tous les rochers et les ruines sont connectés ensembles, avec d'innombrables canaux et rues. 600 îles forment une grande ville au beau milieu de l'océan Pacifique.

"Un vrai mystère"

Ces îles ne sont pas nées naturellement et forment même des figures géométriques. "Un vrai mystère", s'interroge le scientifique McKoy dans le documentaire. "Construire une ville au milieu de l'océan, si loin du monde civilisé. Pourquoi faire ça?"

La population a locale a baptisé ce site Nan Madol, ce qui veut littéralement dire "espace entre". Dit autrement: l'espace entre le continent et l'océan. Nan Madol aurait pu être une capitale, à la fois une ville sans pouvoir politique et un centre de rituels religieux.


Les premières pierres datent de 1180 avant JC, mises en place par la dynastie Saudeleur dont on ne connaît quasiment rien. 
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Pour comprendre, il faut commencer par abandonner la "pensée magique" caractérisant notre époque, où des pseudos-scientifiques généreusement financés tentent d'expliquer notre passé au moyen de contorsions mentales. Ils affirment sans pouvoir démontrer, comme pour la Grande Pyramide.

Une partie du site est situé actuellement sous le niveau de l'océan, ce qui indique logiquement que le niveau des eaux étaient nettement plus bas autrefois. Cette cité était certainement entourée de terres fournissant toutes les ressources nécessaires à sa construction et à la vie des populations.

Les pierres taillées, quelque-soit leur volume, son toujours adaptées à la taille et aux moyens techniques des personnes qui les ont mis en œuvre. Il faut partir des pierres pour imaginer les bâtisseurs et non pas forcément des humains actuels en cherchant désespérément une technologie qui aurait permis cette prouesse...

Concernant les pierres de très grande taille




Les Patagons


La plus impressionnante description de « géants contemporains » se trouve dans l’ouvrage : Relation du premier voyage de Magellan autour du monde. En effet, Magellan et son équipage découvrirent près de la Terre de Feu un peuple étrange de haute taille, dernier vestige d’une civilisation certainement très ancienne. La description qu’ils en font permet de supposer que ces géants devaient mesurer plus de 3 mètres de hauteur. Plus tard Magellan donna à ce peuple le nom de Patagons et au pays, la Patagonie. Voici un morceau choisi relatant la rencontre :

Ayant continué au sud leur navigation, ils arrivèrent à un pays habité par un peuple fort sauvage et d’une stature prodigieuse. Ces géants faisaient un bruit effroyable ressemblant au mugissement des bœufs. Nonobstant leur taille gigantesque, ils étaient si agiles qu’aucun Espagnol ne pouvait les égaler à la course. Les marins poussèrent ensuite un peu plus loin vers le sud qu’ils croyaient inhabité. Mais voilà qu’un sauvage des contrées voisines vint les visiter. Il avait l’air vif, vigoureux chantant et dansant tout le long du chemin. Etant arrivé au port, il s’arrêta et répandit de la poussière sur sa tête. Les hommes descendirent du navire, allèrent vers lui et l’amenèrent à bord. Sa taille était si haute que la tête d’un homme de taille moyenne de l’équipage de Magellan ne lui allait qu’à la ceinture et il était gros à proportion.
Illustration : Les géants Patagons d’après une gravure d’époque

Magellan fit boire et manger ce géant, qui fut alors joyeux jusqu’à ce qu’il eut regardé son visage dans un miroir qu’on lui avait donné entre autres bagatelles. Il tressaillit en reculant d’effroi et renversa deux hommes qui étaient près de lui. Il était si bien avec les Espagnols que ceux-ci se trouvèrent bientôt en la compagnie de plusieurs de ces géants…

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