06 janvier 2018

Dossier : Nous entrons dans un petit âge glaciaire


L'année 2017 étant terminée, je suis enfin en mesure de vous montrer les résultats des lectures des rayonnements ionisants (radioactivité) dans les précipitations ainsi que la moyenne annuelle. Celle-ci est toujours à la hausse et ce, malgré le fait que le soleil a eu un regain d'énergie spectaculaire en septembre. Le résultat le plus bas a par ailleurs eu lieu lors d'une tempête magnétique sévère de niveau G4 (échelle de 5) et de radiation S2 à S3.


Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres qui prouvent que mes résultats sont fidèles à l'activité solaire qui repousse les particules interstellaires (soleil actif = radiations cosmiques à la baisse).

MES MOYENNES CONTINUENT D'AUGMENTER ET LE SOLEIL DIMINUE EN ACTIVITÉ

Les moyennes précédentes (la normale devrait être de +ou- 35 cpm) :

2014 : 50.6 cpm

2015 : 59.1 cpm

2016 : 75.3 cpm

2017 : 98.1 cpm

Le précédent record de 243.1 cpm en 2016 a été franchi a deux reprises. Le nouveau record officiel est de 311.2 cpm. J'ai ainsi dû modifier l'axe vertical de mon graphique pour une troisième fois.

 

AUGMENTATION DES RADIATIONS ET LES ÉTUDES COMPARATIVES

Je ne suis pas le seul à remarquer ces faits. Les résultats des autres projets comme celui où on utilise des ballons stratosphériques pour mesurer les radiations cosmiques dans la stratosphère (projet Earth to sky calculus). Les résultats en Californie montrent une hausse de 13 % des rayonnements cosmiques entre mars 2015 et juin 2017. Ceux un peu plus au nord en Nouvelle-Angleterre affichent 19 %. Si nous comparons avec mes résultats, en utilisant les précipitations comme témoins de l’ionisation atmosphérique, ceux-ci indiquent une hausse de 23 % de décembre 2014 à décembre 2016. Ainsi nous pouvons constater l'augmentation des radiations selon les latitudes. Par ailleurs, tout comme moi, ces études observent des fluctuations selon l'activité solaire.



Les résultats obtenus au Mexique dernièrement démontrent aussi cette tendance avec les latitudes car les résultats sont inférieurs à ceux enregistrés en Californie. Les lignes de champ de notre magnétosphère étant parallèles à l'équateur et perpendiculaires vers les pôles.



RECORDS ANNUELS : L'AUTOMNE AVEC LES COURANTS DU NORD

Je rappelle que les pics les plus élevés arrivent toujours l’automne. J’ai noté un lien étroit avec les courants atmosphériques de surface provenant du secteur nord. Lorsque ceux-ci sont du sud (Maine), les résultats sont inférieurs. Ce qui laisse supposer des liens avec l’inclinaison saisonnière, les lignes du champ magnétique et le retour du vortex polaire.

Courants atmosphériques de surface (lignes vertes)

PROJET ARMAS : ÉTUDE SUR L'AUGMENTATION DES RADIATIONS EN AVION

Le projet ARMAS (Automated Radiation Measurements for Aviation Safety) où 264 avions furent utilisés pour mesurer les radiations, ont eux aussi remarqué et même été surpris d'obtenir de tels résultats alors qu’il n’y avait aucune tempête magnétique.
 

L'IONISATION ATMOSPHÉRIQUE ET SES CONSÉQUENCES

Lorsque je regarde la baisse de la température de la thermosphère et de la mésosphère synchronisée avec le déclin des derniers cycles solaires, je crois que les impacts de l’IST (irradiance solaire totale) sont sous-estimés.


Généralement, seule la variable de l’IST (irradiance solaire totale) est utilisée lorsque l’on parle de l’incidence du soleil sur la météorologie et la climatologie. La variation serait trop légère (+ou- 1 Watt par mètre carré) selon plusieurs pour pouvoir expliquer les fluctuations climatiques qui pourtant, semblent bel et bien suivre l’activité solaire (la courbe de l'activité solaire et la courbe du climat suivent un modèle identique).



ACTIVITÉ SOLAIRE À LA BAISSE ET SAISONS CYCLONIQUES PEU ACTIVES

Lorsque les couches atmosphériques supérieures se refroidissent, leur densité change et les couches inférieures (stratosphère et troposphère) comblent l’espace disponible. Créant ainsi une bulle au niveau de l’équateur et un amincissement vers les pôles. Par conséquent, la tropopause qui est une variable importante pour la cyclogenèse (formation de cyclone), se trouve à être surélevée vers l’équateur. Je remarque aussi une augmentation des orages (et dépressions majeures ) violents vers le nord (Canada, Europe, Russie) qui pourrait être associée à l’abaissement de la tropopause, ainsi que les cyclones qui montent de plus en plus vers le nord.


Ceci est selon moi la raison principale de la diminution de l’intensité des saisons cycloniques.


Un fait observable par la faiblesse jamais vue de cette saison en janvier 2016 pour l’Océan Indien. Les données démontrent une baisse des ouragans. Encore une fois, on peut voir que le modèle des saisons cycloniques suit l'activité solaire.


Mais dès qu'il y a un cyclone nous sommes évidemment bombardés par les réseaux d'information que le CO2 anthropique est le principal responsable. Alors que scientifiquement parlant ça dépasse le non-sens.


ACTIVITÉ SOLAIRE À LA HAUSSE EN SEPTEMBRE ET CRÉATION DE CYCLONES

Le regain d’énergie du soleil en septembre 2017 (plus de 90 taches solaires, 25 éruptions de classe M et 4 de classe X) concorde avec l’activité cyclonique plus importante dans l’Atlantique. Donc, plus le soleil est actif plus l'activité cyclonique sera importante.


Au Québec nous avons bien senti la chaleur et profité d'une couverture nuageuse moins abondante en septembre comparativement au printemps et au début de l'été sous la fraîcheur et les nuages, alors que le soleil était calme.

POURQUOI ALORS LES DONNÉES DE LA NOAA INDIQUENT L'INVERSE?

Selon la NOAA, le mois de juin était plus chaud que la moyenne pour le Québec ! Ce qui ne correspond absolument pas aux observations.

NOAA juin 2017

Car, pour CALCULER (le résultat pour une période donnée est CALCULÉ, donc soumis à l'erreur humaine) la température ils doivent combiner les mesures de l'air AU-DESSUS DE LA TERRE et de la surface des océans (via bateaux, bouées et satellites). Or, les stations terrestres qui relèvent les données dans l'air au-dessus du sol NE SONT PAS FIABLES ! CAR LE POSITIONNEMENT DES STATIONS FIXES NE RESPECTENT PAS LES NORMES. Seulement 80 desdites stations sur 1007 inspectées sont conformes.


Les stations de mesures doivent notamment être à 30 mètres de toutes constructions humaines.

Et il faut aussi savoir que pour les endroits où il n'y a pas de donnée, la NASA utilise des méthodes statistiques pour COMBLER LES LACUNES en se fiant à des mesures environnantes. La mesure dans laquelle chaque mesure influe sur la valeur finale dépend de la proximité géographique du point manquant. La NOAA suit un processus similaire pour L'ENSEMBLE des données. Nous ne pouvons nous fier à leurs données. Alors tout le reste tombe avec !

LE SOLEIL EN ROUTE POUR UN LONG SOMMEIL?

La mission Ulysses nous a démontré des faits assez inquiétants lors de son 3ième orbite (2004-2008). Jamais une pareille baisse de la pression du vent solaire n’avait été observée. La vélocité n’avait pas beaucoup changé avec une baisse de seulement 3 %, mais la densité s’était réduite de 20 % et la température de 13 %.


La bulle héliosphérique dégonfle, le champ magnétique stellaire diminue en intensité et le courant héliosphérique s’aplatit.


Donc, le soleil repousse de moins en moins les rayonnements cosmiques car il est plus faible. Et celui-ci est en train de sortir d’un nuage de particules fortement magnétisées qui lui aussi protégeait la Terre et notre système solaire.



Le cycle solaire maximum duquel nous sortons en ce moment et les 3 précédents, démontrent clairement le decrescendo.


Notez aussi que le cycle 24 a été plus faible qu'anticipé et qu'on prédit un cycle 25 encore plus calme que celui-ci. Mes résultats de 2019-2020 risquent d'être assez surprenants.

Bien que les prédictions des physiciens du soleil varient pour l’horizon temporel, beaucoup s’entendent sur le fait que le soleil est en route pour une sieste ou un long sommeil.


L'irradiance solaire totale (IST) sera affaiblie.
Irradiance solaire totale

Et le champ magnétique stellaire (qui est passé de 8 nT au début de l’ère spatiale à 4 nT) va dévier moins de particules cosmiques.

Projection :

Projection des rayonnements cosmiques

Et nous devons rajouter le fait que notre propre bouclier magnétique terrestre diminue depuis 1600. Il a perdu 10 % entre 1800 et 2000 et un autre 5 % depuis le début du 21ième siècle. Le déclin s’est ainsi accéléré à 5 % par décennie.


Avec toutes ses variables, nous sommes sur un chemin inconnu. Mais regardons ce que la faiblesse du soleil peut à elle seule causer sur Terre.

LES RAYONNEMENTS COSMIQUES ET LEURS IMPACTS

L’impact des rayonnements cosmiques est un facteur encore plus important que l’IST (irradiance solaire totale), car la couverture nuageuse a une influence majeure sur le climat terrestre. Et la science derrière la nucléation des nuages via les particules cosmiques ne date pas d’hier (1910-1911).


Les données sur la mésosphère montrent une baisse de température et une hausse du taux d’humidité depuis les années 80 (1% par décennie). Nous observons d’ailleurs une hausse de la présence des nuages noctulescents (augmentation de particules de glace en haute atmosphère), de colonnes lumineuses (ou piliers de lumière), de nouveaux types d'aurores, de phénomènes lumineux transitoires (sprites) et également des parhélies solaires. Les adeptes du réchauffement climatique anthropique vous expliqueront que c'est le CO2 produit par l'homme qui retient la chaleur dans la basse atmosphère, ce qui refroidirait les couches supérieures. Simplicité scientifique volontaire...

Nuages noctulescents
 Nouveau type d'aurore

Parhélie solaire
 Phénomènes lumineux transitoires (sprites) / Atmosphère de plus en plus ioniséePhénomènes lumineux transitoires (sprites)



Il faut savoir que l’augmentation des rayonnements cosmiques engendrent une hausse de l’ionisation atmosphérique, et par conséquent des charges électriques dans l’atmosphère que l’on peut comparer à un condensateur. Ces charges pourraient participer à la nucléation des nuages.




L’autre théorie (Svensmark) implique aussi les rayonnements cosmiques primaires et secondaires qui engendreraient ces dits nuages.


Mais il semble aussi plausible que des molécules d’eau soient créées par la rencontre de noyaux d’hydrogène (H provenant du Soleil et/ou des rayonnements cosmiques primaires) et de dioxygène (O2) dans un environnement de plus en plus ionisé (électrochimie). Si nous regroupons ces 3 théories, nous avons une recette parfaite pour l’intensification de la couverture nuageuse. Si elle est de basse à moyenne altitude, le forçage radiatif négatif se renforcera (albédo).
 
Donc, une couverture nuageuse plus importante, plus de précipitations, de super-cellules orageuses, un potentiel d'initiation de la foudre renforcé et un climat de plus en plus rafraîchit par la réflexion de l'énergie solaire. Pensez à l'agriculture...

UN PASSÉ CLIMATIQUE GRAVÉ DANS LA GLACE

Le débat demeure d’actualité sur la nucléation des nuages, mais ce qui est particulièrement important de comprendre au niveau des rayonnements cosmiques est le fait que lors des périodes froides de l’histoire ceux-ci étaient plus présents. S’agit-t-il d’un hasard ?

Nous le savons grâce aux relevés isotopiques du Béryllium-10 et du carbone-14 notamment.

Nous pouvons voir l'augmentation des radiations cosmiques pendant les périodes froides et la diminution des radiations cosmiques pendant les périodes chaudes (Béryllium 10).

LE CLIMAT TERRESTRE ET L'ACTIVITÉ SOLAIRE

Le climat ayant toujours évolué selon l’activité solaire comme les dernières périodes chaudes du début et de la fin du 20ième siècle en témoignent. Nous pouvons observer un déclin de l’activité solaire depuis les derniers cycles. Les prédictions des physiciens du soleil basées sur une science qui a beaucoup évoluée depuis les années 60-70 (où l'on craignait être à la porte d’une ère glaciaire), nous permet d’anticiper une période de refroidissement climatique. Les faits nous indiquent qu’il y a une augmentation des rayonnements cosmiques lors des périodes glaciaires. Si les variables et leur évolution demeurent les mêmes, nous sommes en route vers un refroidissement planétaire. Or, on essaie de nous persuader qu’un réchauffement est beaucoup plus menaçant. Ce qui est complètement déraisonnable lorsque l’on consulte les faits historiques.
Sur le graphique nous voyons que toutes les périodes chaudes correspondent avec les périodes de développement des civilisations

En terminant, voici en image la température de la stratosphère qui montre une baisse en 2015 et 2016, soit au même moment où mes résultats ont augmenté de façon significative. J’ai dû modifier l’axe vertical de mon graphique à 2 reprises en automne 2016 car les résultats étaient trop élevés.


Le GIEC vous dira que c’est le dioxyde de carbone (CO2) anthropique (causé par l'homme) qui est responsable en piégeant la chaleur dans la troposphère. Ce qui n’a aucun sens car nous ne vivons pas sous une cloche de verre ! Le GIEC et la simpliste certitude d’un réchauffement climatique anthropique bâtit sur un consensus pseudo-scientifique est un cheval mort qui doit être abandonné pour le bien de la science.

Voici une représentation visuelle du 0.04 % du CO2 dans l'atmosphère. L'être humain est responsable d'une infime portion de ces 4 points rouges...Sur le 0.04% de co2 dans l'atmosphère (les 4 petits points rouges dans l'image au dessus), voici la portion qui correspond à l'activité humaine.

EN CONCLUSION

Il y a beaucoup d'autres points que j'aurais voulu aborder dans cet article mais l'important est de comprendre l'essentiel. C'est-à-dire que les rayonnements cosmiques sont en nette augmentation depuis les dernières années et on annonce une seconde hausse de 19 % avec l’arrivée du cycle solaire 25.
 
 

Nous entrons en ce moment dans une phase de changement et il y aura encore de la négation auprès de la communauté scientifique et surtout politique. Ce ne sont malheureusement pas les meilleurs scientifiques qui ont le maximum de visibilité. Et il y a peu ou pas de financement ou de subvention pour les chercheurs qui exploitent d’autres théories que la certitude bâtit autour du réchauffement qui est devenu aujourd’hui le changement climatique.

Les prévisions du GIEC ont toujours été loin de la réalité et elles continueront de s'en éloigner. Si les variables que le GIEC refusent d'exploiter demeurent les mêmes, nous sommes en train d'entrer au minimum dans un petit âge glaciaire. L'être humain aussi fort soit-il est loin de rivaliser avec l'énergie du soleil, car c'est l'énergie de celui-ci qui fait de la Terre une planète viable.

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