20 mars 2018

Scandale de pédophilie au Royaume-Uni : jusqu’à un millier d’enfants violés


« Plus c’est gros, plus ça passe », prophétisait Goebbels dans les années 30 en Allemagne. À Telford, en Angleterre, des centaines de mineures ont été violées, droguées et prostituées pendant plus de 30 ans sans que les autorités ne s’en émeuvent.

Elles avaient peur – les « autorités », pas les filles – d’être taxées de « racisme » parce que les auteurs de ces crimes étaient à chercher dans la communauté pakistanaise.

Comme quoi l’antiracisme peut faire beaucoup de mal. Il sert d’ailleurs à paralyser les réponses nationales à beaucoup de problèmes.

Une question se pose : y a-t-il des Telford en France ? Avec la paupérisation de nos cités, la communautarisation d’une partie de ses habitants, l’existence de gangs de délinquants et de criminels, l’importance du commerce de la drogue et l’hypersexualisation prônée par le Système, on est en droit de se le demander.

La Rédaction d’E&R

Pour L’Obs, le scandale, c’est la fachosphère, pas les viols...

Une enquête indépendante a été lancée au Royaume-Uni après la révélation d’un scandale de pédophilie qui pourrait concerner des centaines d’enfants à Telford, en Angleterre, et qui a horrifié l’opinion publique.

Cette enquête a pour but d’« obtenir la vérité, montrer ce qui n’a pas fonctionné et en tirer les leçons pour l’avenir », a déclaré un porte-parole du ministère de l’Intérieur, interrogé vendredi par l’AFP.

« C’est une affaire vraiment terrible, certains des membres les plus vulnérables de notre société étant la proie de criminels sans pitié. »

Selon une enquête du Sunday Mirror, jusqu’à un millier d’enfants, dont les plus jeunes âgés de 11 ans, auraient été victimes d’agressions et de viols, parfois collectifs, depuis les années 1980 à Telford, une ville de 170.000 habitants du centre de l’Angleterre, et la police aurait échoué à démanteler le réseau de pédophiles.




L’enquête du Sunday Mirror révèle que :

Les travailleurs sociaux de la ville auraient été au courant des abus depuis les années 1990, mais que la police aurait mis dix ans à lancer une enquête.
Les membres du conseil municipal auraient préféré considérer les enfants comme des « prostituées » plutôt que comme des victimes.
Les autorités n’ont pas « tenu de dossiers » sur les agresseurs, membres de communautés asiatiques, par crainte de « racisme ».
La police a omis d’enquêter sur un cas récent jusqu’à ce qu’un député intervienne.
Une victime affirme que des policiers auraient essayé de l’empêcher de découvrir pourquoi ses agresseurs n’avaient pas été poursuivis.

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